• L'Orne sert de limite entre la commune de Croisilles, placée rive droite, et Curcy-sur-Orne, située rive gauche.

    CROISILLES (rive droite)CROISILLES (rive droite) est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Croisillais et les Croisillaises. Le bourg est en retrait à l'ouest de la route départementale 562 en direction de Caen et la commune est bordée à l'ouest par l'Orne qu'elle surplombe. Elle est dans le pays de la Suisse normande, et fait d'ailleurs partie de la communauté de communes de la Suisse Normande.
         La commune s'étend sur 10,2 km² et compte 528 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2007. Avec une densité de 51,6 habitants par km²,
    Croisilles a connu une nette hausse de 30,7% de sa population par rapport à 1999. Croisilles a compté jusqu'à 727 habitants en 1851.
    Entourée par les communes de
    Thury-Harcourt, Curcy-sur-Orne, Ouffières, Les Moustiers-en-Cinglais, Espins et Placy, Croisilles est situé à 3 km au nord-est de Thury-Harcourt et à 25 km au sud de Caen, la plus grande ville à proximité.
         Située à 165 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau de Traspy, le ruisseau du Pont de Combray sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Croisilles
     http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-croisilles-14.html + Wikipédia

    CROISILLES (rive droite) CROISILLES (rive droite)

    Historique

         « L’activité principale de la commune au 19e siècle reposait sur l’extraction de pierre calcaire et de la chaux. Cette activité a donné son nom au village les « Fours à chaux » où était extraite la chaux. La pierre était cuite, ou sur place, ou dans les fours disséminés sur l’ensemble de la commune. Trois moulins à eau alimentaient la commune en électricité. Ceux-ci furent abandonnés au profit de l’énergie mécanique avant la guerre 39/45.

         Croisilles n’apparaît comme référence qu’assez tardivement. Elle fut une seigneurie avec l’existence d’un très important domaine gallo-romain. C’est de cette paroisse que la Famille chevaleresque des « de Croisilles » a tiré son nom. Cette famille disparu de la paroisse sous Philippe III et sous Philippe Le Bel et s’est installée à Caumont-sur-Orne.

    CROISILLES (rive droite) CROISILLES (rive droite) CROISILLES (rive droite) CROISILLES (rive droite)

         L’ancienne famille de Croisilles, maintenant réduite à deux branches dont l’une habite Caen et l’autre Saint-Rémy-sur-Orne, possédait de temps immémorial la terre et la seigneurie de Croisilles, lorsqu’elle fut vendue par Roger de Croisilles à Aupois, seigneur d’Espins.

          Aujourd’hui s’y trouve une pension de famille pour retraités. Croisilles reste une commune où l’activité agricole prime. Elle possède quelques commerces et voit le nombre d’habitations se développer. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/croisilles/

    Lieux :

    CROISILLES (rive droite) CROISILLES (rive droite)

    Église de Croisilles : photo de droite extrait de Wikipédia

         Église Saint-Martin du 13e siècle, remaniée au 18-19e siècles, restaurée après 1944 et classée au titre des Monuments historiques, avec variante octogonale du clocher à dôme à impériale.

    CROISILLES (rive droite)

    Manoir du Breuil extrait de http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/croisilles/

         Manoir du Breuil du 15e et 16e siècles.

    CROISILLES (rive droite)

    Le manoir de la Moissonnière extrait du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/croisilles/

         Manoir de la Moissonnière du 15e et 17e siècles.

         Lavoir de la Pillière.

         Bois de Costils d'Aunes Il a été cédé par le Dr Danjou à la ville de Caen.

         Parc de Croisilles : parc boisé de 116 hectares, au-delà de la Forêt de Grimbosq à 20 km de Caen et faisant partie des espaces verts de la ville de Caen. Il a été créé par le Dr Danjou et cédé à la ville de Caen.


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  •  L'Orne sépare la commune d'Ouffières, sise rive gauche, de celle de Croisilles, située rive droite du fleuve.

     

    OUFFIERES (rive gauche)

    Photo du village d'Ouffières extraite de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ouffi%C3%A8res


    OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche) est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Ouffiérois et les Ouffiéroises.
         La commune s'étend sur 4,2 km² et compte 190 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 45,1 habitants par km²,
    Ouffières a connu une nette hausse de 20,3% de sa population par rapport à 1999. Ouffières a compté jusqu'à 374 habitants en 1831.
         Entourée par les communes de
    Curcy-sur-Orne, La Caine, Trois-Monts, Goupillières et Croisilles, Ouffières est situé à 23 km de Caen, à 42 km de Falaise et à 5 km de Thury-Harcourt
    .
         Située à 119 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau de Flagy, le ruisseau de l'Aunay d'Ouffières sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune d'Ouffières. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-ouffieres.html + Wikipédia + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/ouffieres/

    OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche)

    Photo 3 extraite du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/ouffieres/

    Historique :

         Le toponyme Offeriis apparaît pour la première fois dans la Charte d’Union du Prieuré St Vigor, écrite par l’Évêque de Bayeux en 1096, et qui place le lieu sous le patronage de ce prieuré. Le fief, dont relève le village, se constitue par la suite en vaste seigneurie qui ne cesse de s’étendre sur toute la paroisse de Curcy, jusqu’à la fin du 19ème siècle. Ce petit village, situé sur la rive occidentale de l’Orne, maintient une tradition agricole et fermière. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/ouffieres/

    Lieux :

    OUFFIERES (rive gauche)

    Photo du lavoir de Neumer extraite du site http://fr.wikipedia.org/wiki/Ouffi%C3%A8res

         Le lavoir de Neumer.

    OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche) OUFFIERES (rive gauche)

    Photo 1 extraite du site : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/ouffieres/ ; Photos 2 et 3 extraites du site : http://clochers.org/Fichiers_HTML/Accueil/Accueil_clochers/14/accueil_14483.htm

         Église Saint-Mathieu-et-Saint-Lô, dont Arcisse de Caumont date la nef et la tour du 16e siècle et indique que le chœur a été refait quatre ans avant son passage, soit avant 1846.

         "Les phases successives de construction empêchent de dater précisément le début de l'édification de ce monument qui présente cependant des vestiges d'architecture vraisemblablement romane primitive. La nef et la tour sont postérieures au 16eme siècle. En 1870, le chœur qui tombe en ruines est entièrement reconstruit. L'église, initialement sous le patronage de saint Vigor, est rebaptisée. source "Patrimoine des communes du Calvados."

    Autre photo sur : http://saintvigor.free.fr/index.php?page=cultes/ouffieres


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  • L'Orne sert de limite communale entre Les Moutiers-en-Cinglais, située sur sa rive droite, et Ouffières puis Goupillières, situées sur sa rive gauche.

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Moustériens et les Moustériennes. Les Moutiers-en-Cinglais est situé entre la forêt de Grimbosq et la forêt de Cinglais. L'habitation n'est pas concentrée en bourg, les maisons étant dispersées au milieu des anciennes exploitations agricoles. Le territoire offre un paysage de bocage traditionnel.
         La commune s'étend sur 6,8 km² et compte 477 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 70,7 habitants par km²,
    Les Moutiers-en-Cinglais a connu une nette hausse de 36,3% de sa population par rapport à 1999. Les Moutiers-en-Cinglais a compté jusqu'à 482 habitants en 1846.
         Entourée par les communes de Saint-Laurent-de-Condel, Espins, Croisilles, Ouffières, Goupillières et
    Grimbosq, Les Moutiers-en-Cinglais est située à 2 km au sud-ouest de Saint-Laurent-de-Condel, à 20 km au sud de Caen, à 36 km de Falaise et à 7 km au nord de Thury-Harcourt.
         Située à 145 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau de la Grande Vallée, le ruisseau des Trois Cours sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune des Moutiers-en-Cinglais.
    http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-les-moutiers-en-cinglais.html + Wikipédia

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite)

    Histoire

         Les Moutiers en Cinglais est situé entre la forêt de Grimbosq et la forêt de Cinglais. Le nom évoque la présence autrefois de plusieurs églises, dont deux subsistent encore au Moyen-age. L’habitation n’est pas concentrée en bourg, les maisons étant dispersées au milieu des anciennes exploitations agricoles. Le territoire offre un paysage de bocage traditionnel. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/les-moutiers-en-cinglais/

    Lieux :

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite)

    L'église des Moutiers-en-Cinglais ; photo 4 extraite de http://clochers.org/Fichiers_HTML/Accueil/Accueil_clochers/14/accueil_14458.htm

         Église Notre-Dame : 11-13-15-20e siècles, remaniée.

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite)

    Château de Cinglais ; photo de droite extraite du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/les-moutiers-en-cinglais/

         Château de Cinglais : 18e siècle (1780). Style classique italien. Balustre en pierre, cheminées, plafonds à caissons ou à soliveaux décorés. Rénové en 1993. Il appartenait à la famille d'Harcourt.

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite)

    Château de Villeray ; photo de droite extraite du site de Wikipédia.

         Château de Villeray : 18e-19e siècles, inscrit au titre des Monuments historiques depuis le 25 août 2005. Il a appartenu à Jacques Le Roy Ladurie (voir ci-après).

         « Si le château conserve des éléments du 17e siècle, l'édifice a été complètement rhabillé au 18e siècle, deux pavillons d'entrée ont été construits et un jardin à la française aménagé. Logis actuel construit entre 1808 et 1830 pour M. de la Choltière qui aménagea le parc et les avenues. Chapiteau provenant de la chapelle Saint-Jean de Moutiers en Cinglais, et rampant de lucarne sculpté provenant du manoir de Saint Laurent de Condel. Vers 1840  l'aile ouest est rajoutée, perpendiculaire au château, l'intérieur garde les aménagements des 18e et 19e siècles. La salle à manger présente une cheminée remontant à l'époque du premier logis. » http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-calvados-chateau-a-les-moutiers-chateau-villeray.html

    LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite) LES MOUTIERS-EN-CINGLAIS (rive droite)

    Château de la Bagotière ; photo de droite extraite de http://www.bagotiere.mfr.fr/index2.php

         Château de la Bagotière : 19e siècle.

         Ancien prieuré : 18e-19e siècles.

    Personnalités liées à la commune :

         Jacques Le Roy Ladurie (1902-1988), syndicaliste agricole, militant et théoricien du catholicisme social, maire de la commune de 1928 à 1983. http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Le_Roy_Ladurie

         Emmanuel Le Roy Ladurie (né en 1929 aux Moutiers-en-Cinglais), fils de Jacques, historien français. http://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Le_Roy_Ladurie


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  • La petite commune de Goupillières, située rive gauche de l'Orne, fait face à celles des Moutiers-en-Cinglais et de Grimbosq, sises rive droite.

    GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche)

    Photo de gauche extraite de http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/goupillieres/  ; Photo de droite : le pont de Brie extraite de http://www.kelquartier.com/basse_normandie_calvados_commune_goupillieres_14210-c14307/revenu_moyen.html

    GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche) est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Goupillières est située au nord de la Suisse normande, sur l'Orne, qui en constitue la limite communale orientale.
         La commune s'étend sur 2,3 km² et compte 170 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2004. Avec une densité de 74,9 habitants par km²,
    Goupillières a connu une nette hausse de 13,3% de sa population par rapport à 1999.
         Entourée par les communes de Ouffières, Trois-Monts,
    Grimbosq et Les Moutiers-en-Cinglais , Goupillières est situé à 1 km au nord-ouest d'Ouffières, à 6 kilomètres de Thury-Harcourt, 8 kilomètres d'Évrecy, à 22 km de Caen et à 41 km de Falaise.
         Située à 118 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau de la Vallée Fermante sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Goupillières
    . http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-goupillieres-14.html + Wikipédia

    Historique

         « Goupillières est établie sur la crête de la terrasse rocheuse dominant l’Orne. La première mention de Goupillières date de 1198. Au 17ème siècle, le chanoine de Bayeux, seigneur et patron de la paroisse, porte encore en son titre la désignation de Goupillières.

         Le village, bâti d’anciennes maisons en schiste, pierre locale, se compose de plusieurs hameaux. La commune est, après Tourville-sur-Odon, la plus petite en superficie du canton d’Evrecy.

         Après avoir commencé à rénover son patrimoine, Goupillières, limitée dans son expansion du fait de sa superficie, s’est doté d’un PLU qui préserve le caractère rural du village, sans renier les technologies modernes bien sûr. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/goupillieres/

    Lieux :

    GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche)

    Photo à droite : Église de Goupillières ; photo extraite du site Wikipédia

          L'église Saint-Eustache, bâtie en schiste, date du 17e siècle. « L’église en schiste du 17ème siècle avec son retable en bois sculpté et peint du 18ème, ses vitraux rénovés en 2010. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/goupillieres/

    Bords de l'Orne :

    GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche)

         Pont de Brie au-dessus de l'Orne. Sur l’Orne, se trouve "le barrage  hydroélectrique de 1934,  modernisé et automatisé en 2010 pour une meilleure production d’énergie propre et un respect de la qualité de l’eau, de la flore et de la faune. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/goupillieres/

    GOUPILLIERES (rive gauche) GOUPILLIERES (rive gauche)

    Photos extraites du site : http://www.kelquartier.com/basse_normandie_calvados_commune_goupillieres_14210-c14307/revenu_moyen.html

    Personnalité liée à la commune :

         Pierre François Devaux : « Né à Goupillières (Calvados) le 9 septembre 1741, Pierre François Devaux est le fils de Gilles Devaux et Catherine Rivière. Il s'installe à Paris, où il devient jardinier fleuriste, et se marie avec Élisabeth Charlotte Dive, devenant ainsi beau-frère par alliance d'un autre futur révolutionnaire, Robert Guillaume Antoine Delabarre. Son rôle au début de la Révolution est effacé, mais il succède en juillet 1793 à Delabarre au Conseil général de la Commune de Paris, où il représente la section de la Croix-Rouge. Par quatre fois, il est appelé à garder la reine et ses enfants au Temple. À la chute de Robespierre le 9 thermidor de l'an II (26 juillet 1794), il signe l'appel de la Commune à soutenir Maximilien de Robespierre et à libérer la Convention. Les signataires de cet appel sont mis hors-la-loi par la Convention dans la soirée. Quand les robespierristes sont capturés sans jugement, le tribunal révolutionnaire se borne à enregistrer son identité le 11 thermidor, et il est exécuté avec 70 autres membres de la municipalité de Paris le jour même (29 juillet 1794). Ses biens, acquis à la République, ont été rendus à sa famille au terme d'une procédure qui a duré jusqu'en l'an XI. Il laisse trois enfants, Jean-Pierre, Pierre-Étienne et Charlotte-Agnès Devaux. » http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Fran%C3%A7ois_Devaux


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  • L'Orne sert de limite communale entre Grimbosq, située sur sa rive droite, et Trois-Monts, située sur sa rive gauche.

    GRIMBOSQ (rive droite)

    Photo du village de Grimbosq extraite du site Wikipédia

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) (prononciation : [grɛ̃bo:] « grinbô ») est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Grimbosquais et les Grimbosquaises.
         La commune s'étend sur 8,6 km² et compte 269 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 31,2 habitants par km²,
    Grimbosq a subi une forte baisse de 12,3% de sa population par rapport à 1999. Grimbosq a compté jusqu'à 433 habitants en 1836.
         Entourée par les communes de
    Les Moutiers-en-Cinglais, Goupillières, Trois-Monts, Sainte-Honorine-du-Fay, Maizet, Mutrécy et Saint-Laurent-de-Condel, Grimbosq est situé à l'ouest de la forêt du même nom, dans un méandre de l'Orne, c'est-à-dire entre la forêt et le fleuve, à 2 km au nord-ouest des Moutiers-en-Cinglais, à 18 km de Caen, à 37 km de Falaise et à 10 km de Thury-Harcourt. Grimbosq appartient au canton Bretteville-sur-Laize.
         Située à 84 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne et le ruisseau de la Grande Vallée sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Grimbosq.
    http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-grimbosq.html + Wikipédia + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/grimbosq/

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Toponymie

         La localité et la forêt éponyme ne sont mentionnés que tardivement sous les formes Grimbost en 1356, Grienbosc en 13713. La majorité des auteurs s'accordent pour considérer le second élément comme le mot bosc « bois », fréquent en Haute-Normandie sous cette forme, mais plus rare en Basse-Normandie, où il est souvent noté bosq ou boscq. Il a ici le sens de « forêt ».

         Selon ces mêmes auteurs, l'élément Grim- s'explique par l'anthroponyme germanique Grimo. Cet anthroponyme, quoiqu'attesté, ne semble pas se retrouver ailleurs dans la toponymie normande. En outre, la proximité au nord des toponymes Grainville-sur-Odon (Grainvilla en 1077) et Grainville-Langannerie (Garenvilla, Guarinvilla en 1196), connus par des formes beaucoup plus anciennes, postule plutôt en faveur d'un autre anthroponyme. Les formes les plus anciennes des Grainville de Seine-Maritime sont toutes du type Grinvilla. D'après ces mêmes spécialistes, le premier élément de ces noms en -ville est soit le nom de personne germanique Gairinus, soit le nom de personne norrois Grimr (souvent latinisé en Grinius dans les textes). Les deux formes anciennes Grimbost et Grienbosc vont plutôt dans le sens d'une interprétation par ce dernier. (Wikipédia)

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Histoire

         Grimbosq, dont la forêt voisine porte le nom, est établi sur un territoire recouvert par les bois au Moyen-Age. Le site du Château d’Olivet, au confluent de deux ruisseaux, est choisi pour y établir une motte féodale. L’intérêt stratégique de ce lieu, ayant vu sur l’Orne, est de contrôler le franchissement du fleuve. Le village est établi à quelques kilomètres de l’endroit où les habitants exploitent les terres défrichées. Le château subsiste probablement jusqu’au 17ème siècle. En 1606, une fille de Pierre d’Harcourt épouse un membre de la famille de La Marzelière, qui prend ensuite le titre de châtelain d’Olivet. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/grimbosq/

     

    GRIMBOSQ (rive droite)Les armes de la commune de Grimbosq se blasonnent ainsi :
    Parti : au premier d'argent à l'arbre arraché de sinople, au second d'azur aux quatre épis de blé d'or liés en gerbe.

    Lieux :

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Photos 1-2 extraites du site : http://www.fleurysien.com/manoirs/olivet.php ; Photo 3 extraite du site : http://www.normanconnections.com/fr/norman-sites/important-norman-buildings/the-motte-mound-of-olivet-motte-de-grimbosq/ ; Photo 4 : http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14461_Mutrecy.html

         Site du château d'Olivet, motte castrale du 11e siècle faisant l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le 21 juillet 1988.

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Photo 1 : Wikipédia ; Photo 2 : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/grimbosq/ ; Photo 3 : http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-grimbosq.html

         Église Saint-Pierre du 19e siècle (1830 et 1875).

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

         Le pont de Brie du 19e siècle en granit.

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Photo 1 du lavoir de Grimbosq extraite du site Wikipédia ;Photo 2 : le pont de Brie extrait de http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/grimbosq/ Photo 3 : le barrage et l'usine électrique extrait de http://lamyjeanpierre.skyrock.com/3026056090-Auberge-du-pont-de-Brie-a-Goupillieres-14.html

         Le lavoir sur la D 257, du début 19e typique du Cinglais.

         La forêt de Grimbosq : c'est une propriété de 475 hectares acquise en 1972 par la ville de Caen, qui est presque exclusivement située sur le territoire de la commune de Grimbosq. La forêt s'étend sur un plateau schisteux (phyllades de St Lô)

    Histoire

          On disait au Moyen Âge : « le Grin bosc » du nom de personne norrois Grimr (mentionné dans les documents écrits en latin médiéval sous la forme Grinius et fréquemment attesté dans la toponymie de la Normandie ducale) ou germanique Gairinus (> Guérin). Le terme bosc est l'ancienne forme du mot « bois » qui a évolué phonétiquement et graphiquement en français, mais est noté tel quel en dialecte normand, bien qu'il ait aussi évolué phonétiquement. Cependant, il est surtout fréquent en Haute-Normandie où il est orthographié ainsi et plus rare en Basse-Normandie où il est généralement noté bosq ou boscq. On le prononce traditionnellement «  » [bo:] (ou « boc » [bɔk]), d'où la prononciation locale « grinbô ».

    Lieux et monuments

          On y trouve un étang alimenté par un petit affluent de l'Orne. La forêt est longée par l'ancienne ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile (ligne Caen–Flers) et actuelle voie verte de la vallée de l'Orne.

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    Photo 4 montrant la chapelle Sainte-Anne extraite du site Wikipédia

         Une chapelle dédiée à sainte Anne se cache sur les berges de l'Orne.

          « Cette chapelle dont le patronage appartenait à l'abbaye du Val-Richer, fut longtemps un centre de pèlerinage pour les âmes de la contrée. On s'y réunissait le lundi de Pâques et le 26 juillet, jour de fête de la sainte qui avait, ici, la faculté de faire pleuvoir lors des périodes de sécheresse. C'est d'ailleurs surtout pour cela que les fidèles des paroisses voisines s'y rendaient en procession en chantant des cantiques avec, à leur tête, les sacristains agitant leurs tinterelles. Les bannières étaient plongées dans le cours de l'Orne et le retour s'effectuait à une cadence accélérée car Sainte Anne déclenchait la pluie : les paroissiens étaient trempés jusqu'aux os avant de regagner leur domicile... On raconte que lorsque cessèrent les pèlerinages, un lièvre venait célébrer la messe et donner la communion aux gens crédules. » extrait de Bois et Forêts de Normandie de Jean-Marie Foubert, Éditions Charles Corlet, 1985. Au 19e siècle, on déplaça l’emplacement de cette chapelle afin de permettre la construction du pilier ouest du viaduc. On raconte que Sainte Anne aurait mal pris la chose et, certaines nuits, serait retournée gîter sous le pont voisin.

         Les ruines féodales d'une motte castrale le château d'Olivet datant du 11e siècle qui fait l'objet d'un recensement à l'inventaire général du patrimoine culturel.

         Vestiges d'une enceinte fortifiée au lieu-dit Château Houel qui fait l'objet d'un recensement à l'inventaire général du patrimoine culturel. (informations Wikipédia)

    Aménagements :

         Un centre d’hébergement à Mutrécy reçoit randonneurs et classes vertes.

         Un parc animalier de 8,5 hectares pour observer des sangliers, des cerfs, des biches et des daims.

         Des arboretums forestiers et de collections.

         Des sentiers botaniques, pédestres, des parcours sportifs (à pied ou à vélo).

         Une aire de jeux et de pique-nique.

         Une reconstitution d'un fourneau de charbonnier (ou motte) utilisé jusqu'au 19e siècle pour la fabrication du charbon de bois.

         Un cimetière d'animaux y a été aménagé en 1982.

         La forêt est traversée par le GR 36 (sentier de grande randonnée de plus de 1 000 kilomètres, joignant la Manche à la mer Méditerranée).

    GRIMBOSQ (rive droite) GRIMBOSQ (rive droite)

    A droite, la Halte de Grimbosq en 2007 ; photo extraite du site Wikipédia

         La halte de Grimbosq est une ancienne une halte ferroviaire française de la ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, située sur le territoire de la commune de Grimbosq, dans le département du Calvados, en région Basse-Normandie. Établie à 20 m d'altitude, la halte de Grimbosq est située au point kilométrique (PK) 260,123 de l'ancienne ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, entre les gares de Mutrécy et de Croisilles-Harcourt. Elle est inaugurée le 15 mai 1873. La construction de cette halte fut complétée par l'édification d'un pont sur l'Orne, le pont de Brie, à l'emplacement d'un ancien gué important. Elle est aujourd'hui parcourue par le vélorail du Val de Maizet géré par l'amicale pour la mise en valeur de la voie ferrée de Caen à Flers et longée par la voie verte de la vallée de l'Orne. (wikipédia)


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