• RANVILLE (surtout rive droite)

    A l'origine le territoire de Ranville s'étendait uniquement sur la rive droite de l'Orne. Après le redressement du fleuve puis le creusement du canal de Caen à la mer, une partie de la commune s'étend désormais rive gauche de l'Orne jusqu'aux berges du canal qui est franchi par le pont de Bénouville dénommé "Pegasus Bridge" depuis le 6 juin 1944.


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     RANVILLE  RANVILLE RANVILLE  est un village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Ranvillais et les Ranvillaises.
         La commune s'étend sur 8,4 km² et compte 1 652 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 196,2 habitants par km²,
    Ranville a subi une forte baisse de 14,8% de sa population par rapport à 1999.
         Entourée par les communes de Hérouvillette,
    Colombelles, Blainville-sur-Orne, Bénouville, Amfreville et Bréville-les-Monts, Ranville est située à 2 km au sud-est de Bénouville et à 6 km de Caen, la plus grande ville des environs.
         Située à 13 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne est le principal cours d'eau qui borde et traverse la commune de Ranville
    .    

         Ranville est jumelée avec Motten (Allemagne) et Petworth (en) (Royaume-Uni). http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-ranville.html + Wikipédia

    RANVILLE RANVILLE RANVILLE

    Toponymie

         Le nom de la localité est cité sous les formes Ranvilla en 1066, Ranvilla au 12e siècle (Recueil des actes de Henri II roi d'Angleterre et duc de Normandie), Ramville en 1667 (carte de Levasseur), Romville en 1710 (carte de Defer). Ranville au 18e siècle (carte de Cassini).
         Sans citer de formes anciennes, Albert Dauzat, Charles Rostaing, avec à leur suite Ernest Nègre et René Lepelley, ont proposé le nom de personne germanique Rando pour expliquer le premier élément Ran-. Cette solution est possible phonétiquement, mais seule une forme ancienne du type *Randovilla, *Randeville ou *Rantville pourrait confirmer cette hypothèse. Curieusement, Ernest Nègre qui mentionne, à propos de Ransart (Pas-de-Calais, Ransart 1169), le nom de personne Hramnus cité par Marie-Thérèse Morlet, n'y songe pas en ce qui concerne Ranville, alors que cet anthroponyme conviendrait davantage.

    RANVILLE RANVILLE RANVILLE RANVILLE

         Le second élément -ville est issu du gallo-roman Villa au sens ancien de « domaine rural », mot utilisé au Moyen Âge pour désigner un domaine agricole et son activité, puis un village. Ces auteurs n'évoquent pas l'existence de Rantot (Manche, Digulleville, Derantot 1825 - 1866, c'est-à-dire « la ferme de Rantot ») et de Randal (Manche, Quettetot, Bois de Randal 1456) qui contiennent également un élément Ran-, mais il est associé à des appellatifs toponymiques d'origine norroise. Il s'agit de -tot issu du vieux norrois topt « propriété, ferme » et -dal de dalr « vallée ». L'association de Ran- avec un élément scandinave suggère une explication par le nom de personne féminin vieux norrois Rán, ce qui est plus simple. En Normandie, les noms en -tot ont souvent leur équivalent en -ville (cf. Cidetot / Cideville ; Chiffretot / Chiffreville ; Épretot / Épreville, etc.), voire un autre élément d'origine scandinave. En revanche, l'homophonie avec Ranville (Charente, Aranvilla 1254) et la ressemblance avec Rainville (Vosges, Rainovilla 10e siècle) sont fortuites. (Wikipédia)

     RANVILLE  RANVILLE  RANVILLE RANVILLE

     

    RANVILLE Les armes de la commune de Ranville se blasonnent ainsi :
    "D’azur au clocher du lieu d’argent, ajouré d’or et accompagné en chef senestre d’un écusson de gueules chargé de deux léopards d’or armés et lampassés d'azur, l’un au-dessus de l’autre." (Wikipédia)

    Histoire

         « Une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux passait sur le territoire de la commune ; les voyageurs devaient emprunter un bac à Ranville afin de rejoindre le port de Bénouville et poursuivre leur route. Ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que ce bac fut remplacé par un pont-tournant pour traverser l'Orne. L'ancien pont tournant était l'œuvre des ateliers Gustave Eiffel. Lors de l'opération Tonga le 6 juin 1944, le nom de code de sa capture était Euston 2 (Euston 1 était la prise du pont de Bénouville sur le canal de l'Orne). Il a été renommé plus tard Horsa (le pont de Bénouville ayant été renommé Pegasus). Il a été détruit après la guerre pour être remplacé par un ouvrage fixe en béton. » (Wikipédia)

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         « Ranville connut deux seigneurs : Jean de Querville par un acte de 1402 et un Baillache, en 1453. » (http://www.ranville.fr/Histoire,2,0,7.html)

         « Un domaine agricole (« ville ») s'est sans doute développé avant l'existence de la commune. Au cours des siècles, l'économie de la commune repose sur trois activités principales :

    - l'extraction de la pierre de Caen qui était ensuite acheminée, vers l'Angleterre notamment, par l'Orne (la rue des carrières à Longueval rappelle ce passé),

    - l'exploitation des ressources fluviales à Longueval (pratiquée par les sablonniers et les pêcheurs) et qui périclita avec l'ouverture du Canal de Caen à la mer,

    - l'agriculture, notamment sur les marais asséchés aux 19e et 20e siècles. » (wikipédia)

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         « On prétendait, il y a 50 ans, trouver encore sur les bords de la rivière les traces de l'embarcadère où venaient charger les chalands. Le hameau de Longueval, situé sur les bords de l'Orne, avait par ailleurs une vocation maritime et comptait de nombreux pêcheurs et sablonniers. Ceux-ci, depuis la canalisation de la rivière entre Caen et Ouistreham, allaient chercher le sable de mer à marée basse, dans de petites péniches remorquées par des chevaux circulant sur le chemin de halage bordant la rive et le portaient à Caen, aux entreprises de construction. Quand plus tard on créa le canal de Caen à la mer, ce trafic se fit alors le long du canal et l'Orne fut abandonnée. » (http://www.ranville.fr/Histoire,2,0,7.html)

    RANVILLE RANVILLE RANVILLE RANVILLE

          La commune était éclatée entre plusieurs hameaux plus ou moins regroupés :

    • le Bourg Neuf,

    • le Bas de Ranville,

    • le Hom,

    • le Moulin,

    • le Mariquet,

    • Longueville,

    • Longueval.

         En 1860, les Ranvillais décidèrent de démolir leur église, jugée vétuste et trop exiguë. Ils conservèrent seulement le clocher des 11e et 12e siècles qui subsiste encore aujourd'hui à côté de la nouvelle église. » (Wikipédia)

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         « En fait, les quelques transformations à noter dans la commune, au cours du 19e et au début du 20e siècles, se firent, si l'on peut dire, autour de la rivière. Ce fut d'abord l'assèchement des marais situés sur chaque rive, et le partage des terres ainsi conquises entre les habitants dont chacun reçut une part. Puis, le Second Empire entreprit la canalisation de l'Orne entre Caen et la mer pour faciliter aux navires l'entrée du port de Caen et la construction du pont tournant de Ranville (Eiffel) pour améliorer les relations entre les deux rives qui, jusque-là, se faisaient par barque. Plus tard, la remontée de l'Orne demeurant difficile, on creusa un canal parallèle à la rivière qui permit un nouveau développement du port de Caen. » (http://www.ranville.fr/Histoire,2,0,7.html)

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         « Ranville a été le premier village de France libéré le 6 juin 1944 par le 13e bataillon parachutiste britannique (13th Parachute Battalion) commandé par le Lieutenant-Colonel Peter Luard. Le clocher médiéval de l'église a été le théâtre d'un fait tragique : un tireur allemand embusqué au sommet a abattu trois parachutistes britanniques, avant d'être lui-même tué. Il repose aujourd'hui auprès de ses victimes dans le cimetière civil à quelques mètres du clocher. Le château du Heaume, un manoir à un étage, servit ensuite de quartier-général à la 6th Airborne Division. » (Wikipédia)

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         « J-1 3h30 : A Portsmouth, Eisenhower donne le feu vert à son état major.
    Le Jour J (D Day) aura lieu le 6 juin en Normandie.
         Jour J 0h16 : Le clocher de Sainte Honorine la Chardonnerette sert de point de repère aux pilotes des 6 planeurs (Horsa) qui vont se poser les premiers à quelques centaines de mètres des ponts de Bénouville et Ranville. Grâce à l'effet de surprise les ponts sont pris après un violent mais bref combat. Les pertes en homme sont légères.
         Le message "Ham and Jam" (Jambon et confiture) qui signifie la réussite de l'opération est reçu quelques instants plus tard à Londres avec un grand soupir de soulagement : Les ponts de Bénouville et Ranville sont aux mains de Howard et de ses commandos.
         0h30 : Les premiers parachutistes anglais du 13e bataillon de la 6ème Brigade sont largués sur Ranville. Ils doivent libérer le village choisi pour être le centre de la tête de pont qui rendra impossible toute contre-attaque allemande lors du débarquement des troupes et du matériel sur les plages.
    Les parachutistes chassent ou font prisonnier les troupes nazies qui stationnent à Ranville. Ils investissent la propriété, occupée aujourd'hui par l'entreprise Blot, afin d'en faire un hôpital de campagne où les premiers blessés seront soignés.
    Le château de Rohan-Chabot sera le QG de la 5ème brigade et le château du Hom le QG de la 6ème division.
    Dans la nuit : Arrivée de planeurs (environ 70) qui apportent des renforts en armes, en jeeps et en hommes. Ils finissent d'occuper Ranville et de chasser les nazis qui, surpris par la soudaineté de l'attaque, se rendent sans trop de problèmes.
    Ranville est la première commune de France libérée.
         05h30 : Les 6939 navires de l'armada alliée abordent les côtes normandes. Le débarquement va commencer. Ils arrivent …
         13h30 : Les hommes du Major Howard sont relevés par le commando 4 de la 1ère brigade spéciale de Lord Lovat. En tête, un piper franchit le pont au son de "Black bonnet over the border".
    C'est ainsi que Bill Millin entrera dans la légende du Jour J.
    La bataille de Normandie ne fait que commencer, elle durera 7 semaines. »
    http://www.ranville.fr/Le-Jour-J,2,0,8.html

         La ville abrite aujourd'hui une cimenterie de Ciments français, filiale du groupe italien Italcementi.

    Lieux

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         L'église (clocher du 11e-12e protégé par l'Association Sauvegarde du Patrimoine de Ranville et rénové en 2007-2008). (wikipédia)

    RANVILLE L'église de Ranville (Wikipédia)

         « L'église date d'un peu plus d'un siècle seulement. Elle en remplace une très ancienne qui était attenante au clocher, mais se trouvait à cette date en mauvais état et de taille insuffisante pour la commune. C'est pourquoi on décida de la supprimer pour en construire une nouvelle.
    Heureusement, le clocher de l'ancienne, édifice du début du 13e siècle, fut conservé. On prétendait autrefois, qu'au cours de la guerre de Cent Ans, les restes d'un soldat anglais avaient été déposés sous la dalle du sommet de la tour. Mais, après la dernière guerre, la dalle ayant été brisée par des éclats d'obus, on dut la remplacer et malgré d'actives recherches, on ne trouva traces d'aucun ossement de ce guerrier inconnu. » (http://www.ranville.fr/Histoire,2,0,7.html)

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         « Dernier vestige d'une ancienne église datant du Moyen-Age, le clocher de Ranville est situé sur un mont. Il servait vraisemblablement de tour de garde. Du haut de sa plate-forme, on pouvait surveiller l'Orne et son estuaire. Dès 1940, les troupes allemandes l'utilisèrent comme poste d'observation.
    La base du clocher présente une maçonnerie fort ancienne (11ème ou 12ème siècle) en arête de poisson. On peut encore voir les traces de la nef de l'ancienne église qui, à l'origine devait être en bois. Elle aurait brûlé plusieurs fois... En très mauvais état et trop petite pour la population du village, elle fut remplacée par l'église actuelle sur une décision du Conseil Municipal le 11 novembre 1860. Mais il fut spécifié que les cloches de l'ancienne église seraient conservées et c'est pourquoi on ne construisit pas de clocher sur le nouvel édifice. On dit que ce clocher aurait été construit par des lépreux qui auraient eu un camp sur l’emplacement de l’ancienne ferme du « château du Heaume », du bas de Ranville. Ce qui pourrait expliquer que Saint Roch, patron des lépreux, est le second patron de la Commune (sa statue a été érigée dans la chapelle au nord). Une légende prétend qu'au cours de la Guerre de Cent ans, les restes d'un soldat anglais auraient été déposés sous la dalle au sommet de la tour... Après le dernière guerre on dut remplacer la dalle brisée par un obus, mais aucune trace d'ossements ne fut trouvée ! En 2007, la municipalité a décidé de restaurer le clocher en respectant son style et son originalité. » http://www.ranville.fr/Patrimoine,2,0,46.html

         Le cimetière civil où reposent des militaires français et britanniques tombés pendant la bataille de Normandie.

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         Le cimetière militaire du Commonwealth où reposent notamment les premiers parachutistes britanniques et canadiens décédés le 6 Juin 1944. « Le cimetière militaire de Ranville est, après celui de Bayeux, le plus important en nombre de tombes. 2564 soldats y sont enterrés, dont 2152 Britanniques, 76 Canadiens, 3 Néo-Zélandais, 2 Australiens, 5 Français, 1 Polonais, 1 Belge, 322 Allemands et 2 non identifiés. Le plus jeune n'avait pas 16 ans ! Dans le cimetière de l'église reposent des Britanniques dont le soldat Brotheridge. Il avait pris place à bord de l'un des 6 premiers planeurs et fut le premier soldat Anglais tué sur la terre normande alors qu'il tentait de traverser le pont, dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. Enterré dans le cimetière autour de l'église, donc une terre consacrée, son corps, comme celui de ses compagnons, ne fut pas transféré dans le cimetière militaire. » http://www.ranville.fr/Le-cimetiere-militaire,2,0,36.html

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         Le château de Guernon-Ranville, dit aussi château de Ranville. « Cette propriété privée du 18e siècle porte le nom de la famille qui l’a longtemps possédée. Elle a été la demeure d’un ministre au 19e siècle, la villégiature de mécènes au début du 20e siècle puis une infirmerie de guerre lors du débarquement allié en Normandie en 1944. Elle abrite actuellement des gîtes de charme. » (Wikipédia) Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Guernon-Ranville

    RANVILLE RANVILLE (Wikipédia)

         « Le château de Ranville a accueilli le comte de Guernon-Ranville. Il y mourut et fut enterré dans un enclos funèbre privé adossé, au cimetière de Ranville. Ministre de l'instruction et des cultes sous le règne de Charles X, il se signala par une ordonnance ayant pour effet : De faire pourvoir d'écoles primaires toutes les communes du royaume. D'établir des écoles modèles préparatoires, destinées à former des instituteurs primaires. Des mesures à prendre pour assurer des retraites aux instituteurs primaires. Pendant son ministère, il tint note de tout ce qui se passa aux réunions des ministres et son œuvre "Journal d'un ministre" fut publiée à titre posthume en 1873. » (http://www.ranville.fr/Histoire,2,0,7.html) Voir aussi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Guernon-Ranville ou http://fr.wikipedia.org/wiki/Martial_de_Guernon-Ranville

    RANVILLE

         Le château du Heaume ou du Hom. « Construit au 18ème siècle sous le règne de Louis XV, le château fut agrandi sous Napoléon III. Dans son parc de 5 hectares se dressent deux gigantesques séquoïas plantés au 19 siècle au moment de l'agrandissement du château. Le 6 juin 1944, le château du Heaume devient la QG du Général Gale qui commandait les 8000 hommes de la 6ème aéroportée britannique parachutée sur Ranville. » http://www.ranville.fr/Patrimoine,2,0,46.html

    RANVILLE RANVILLE RANVILLE RANVILLE RANVILLE RANVILLE (photo Wikipédia)

         Le château du Mariquet. « Cet élégant château des 18e et 19e siècles fut la propriété de le famille Rohan-Chabot jusqu'en 2009. La bâtisse fut construite à l'époque du Directoire sur trois étages en briques alternées avec de la pierre.
    Les deux tourelles qui l'encadrent ont été rajoutées vers 1880 par la comtesse de Brye, petite- fille du comte de Brye, maire de la commune. Le château fut un haut lieu de la Bataille de Normandie. Dès le matin du 6 juin 1944, la comtesse Jeanne de Rohan-Chabot se met à la disposition des troupes alliées qui prennent possession du château, occupé depuis 1940 par les Allemands, et y installent le QG de la 5ème Brigade. » http://www.ranville.fr/Patrimoine,2,0,46.html

         Le manoir du 16e, rue de la Grange aux Dimes.

    RANVILLE RANVILLE

          La grange aux dîmes « était un bâtiment qui servait à entreposer la collecte de la dîme, impôt de l’Ancien Régime portant principalement sur les revenus agricoles et perçu par l’Eglise catholique. Jusqu’à la Révolution, les paysans de la paroisse de Ranville venaient y déposer un dixième de leur récolte à l’intention des religieuses de l’Abbaye aux Dames de Caen, propriétaires de terres dans le village depuis la donation qui leur en avait été faite par Guillaume le Conquérant en 1082. Elle faisait partie d’un ensemble de deux fermes importantes qui ont traversé les siècles et qui sont, sans doute aujourd’hui, les bâtiments les plus anciens de la commune. Le bâtiment situé actuellement rue de la Grange aux dîmes, faisait partie autrefois du domaine des Guernon-Ranville. Au début du 19e, la ferme fut reprise par Monsieur Fontaine, ensuite par M. Armand Lacour et par M.Jules Lacour qui commença à la restaurer. La ferme voisine appartenait à la propriété du Hom. Elle fut exploitée par M. Deveaux et ensuite par M. Joyeux et enfin vendue à un transporteur M. Madeleine. Pendant tout ce temps, la grange aux dîmes était devenue une étable ! C’est dans les années 80 que Michel Lopuzanski a acquis l’ensemble de la propriété et a décidé de la restaurer. Les travaux de restauration y sont accomplis depuis plus de 25 ans et il y a installé son entreprise « Normandie Appâts », unique en France, qui récolte et vend dans le monde entier des vers pour la pêche. » http://www.ranville.fr/Patrimoine,2,0,46.html

    RANVILLE      Le moulin à vent, témoignage de l'importance de l'activité céréalière de la région. « C'est l'un des très rare moulins à vent conservés dans le Calvados. Il témoigne de l'importance de l'activité céréalière à Ranville.
    Appartenant à Richard de Bussy, il fut racheté en 1403 par l'Abbaye d'Aunay. En 1569, il fut donné à Richard d'Hérouvillette en échange de deux granges, l'une à
    Ranville, l'autre à Sainte-Honorine. »

     http://www.ranville.fr/Patrimoine,2,0,46.html

     

     RANVILLE RANVILLE Le lavoir sur l'Aiguillon.

    Photo ci-dessus : http://www.guidetouristiquefrance.fr/visit/memorials-basse-normandie-memorial-pegasus-ranville-830 ; photo du lavoir extraite de Wikipédia.

         Le Mémorial Pegasus Bridge, entre l'Orne et le canal, dans le parc duquel a été installé le pont historique. « Le musée "Memorial Pegasus" a été inauguré le 4 juin 2000 par SAR le Prince Charles d'Angleterre et le Ministre français de la Défense, Alain Richard. Ce musée est dédié aux milliers de soldats de la 6ème Division Aéroportée Britannique arrivés par parachutes et par planeurs dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, qui sont devenus les premiers et héroïques libérateurs atteris en Normandie. L'architecture externe du bâtiment rappelle la silhouette des planeurs qui atterrirent par centaines dans la région, le 6 juin 1944.

    RANVILLE (surtout rive droite) RANVILLE (surtout rive droite) RANVILLE (surtout rive droite)
    Le musée relate les différentes missions confiées à la 6ème Division, dont le plus spectaculaire fut la prise des ponts de Bénouville sur le canal de Caen et de Ranville sur l'Orne. La collection exposée comprend plusieurs centaines d'objets et de documents authentiques, souvenirs historiques et émouvants de cette période inoubliable de l'histoire contemporaine. Des explications données par un guide autour d'un plan relief de la région, un film d'archives vous feront revivre les premières heures de la libération de la Normandie. Dans le parc du musée se trouve le Pegasus Bridge d'origine, premier pont libéré de France continentale, dont la prise constituait l'une des missions les plus spectaculaires de la 6ème division Aéroportée. »

    RANVILLE (surtout rive droite) RANVILLE (surtout rive droite) RANVILLE (surtout rive droite) RANVILLE (surtout rive droite)

    Mémorial-Pegasus Avenue du Major Howard 14860 Ranville [g]Tél. 02 31 78 19 44 Fax 02 31 78 19 42 www.musee-memorial-pegasusbridge.fr/

    Personnalités liées à la commune :

         Général Richard Gale (1896-1982), commandant de la 6th Airborne Divisio. Voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Gale et aussi à la « 6th Airborne Division » :  http://fr.wikipedia.org/wiki/6e_division_a%C3%A9roport%C3%A9e_%28Royaume-Uni%29

         Le comte de Guernon-Ranville (1787 - 1866 au château de Ranville), ministre de l'Instruction Publique et des Cultes sous Charles X, dans le gouvernement Polignac. Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Martial_de_Guernon-Ranville On appréciera les prénoms de ce personnage en forme de jeu de mots : « Martial Côme Annibal Perpétue Magloire »... Eh oui...

    Le site internet de la commune de Ranville est : http://www.ranville.fr/index.php

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