• BENOUVILLE (rive gauche)

    Bénouville, située rive gauche de l'Orne, après avoir été l'un des lieux de franchissement du fleuve peu avant son estuaire, a vu le creusement du canal de Caen à la mer et l'implantation d'un pont d'abord tournant puis levant sur son territoire.


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    BENOUVILLE (rive gauche) BENOUVILLE (rive gauche) BENOUVILLE (rive gauche) est une petite ville française, située dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Bénouvillais et les Bénouvillaises.
         La commune s'étend sur 5,3 km² et compte 2 028 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 384,1 habitants par km², Bénouville a connu une nette hausse de 16,6% de sa population par rapport à 1999.
         Entourée par les communes de Saint-Aubin-d'Arquenay, Ouistreham, Amfreville, Ranville, Blainville-sur-Orne et Biéville-Beuville, Bénouville est située à 2 km au nord-est de Blainville-sur-Orne. Bénouville se trouve entre Ouistreham et Caen le long du canal de Caen à la mer.
         Située à 11 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne est le principal cours d'eau qui borde la commune de Bénouville. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-benouville-14.html + Wikipédia

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    Toponymie

         Le nom du village est mentionné en 1066 sous la forme latinisée Burnolfivilla. Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé de l'anthroponyme vieux danois Biornulf, vieux norrois Biǫrnulfr ou anglo-saxon Beornwulf. Il se perpétue dans le nom de famille normand Burnouf (surtout Cotentin) et sans doute Burnoult (Calvados), patronyme disparu.

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         Homonymie avec Bénouville (Seine-Maritime, Bernovilla 1166 - 1173) et homophonie avec [Saint-Pierre-]Bénouville (Seine-Maritime, Bernoldivillam 12e siècle) qui contient un autre anthroponyme, Bernold, d'origine germanique continentale. (Wikipédia)

    BENOUVILLE (rive gauche)Les armes de la commune de Bénouville se blasonnent ainsi :
    « 
    De sable au chevron d'or accompagné, en chef à dextre, d'un croissant d'argent et, à senestre, d'une étoile de six rais aussi d'or et, en pointe, d'un lion du même lampassé de gueules. »
    (Wikipédia)

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    Histoire

         « Si des menhirs de l’époque pré-celtique, les vestiges d’un camp romain et la localisation d’une antique « villa » attestent une occupation très ancienne de Bénouville, c’est du moyen-âge que datent les premières traces du village de Burnolfivilla. A cette époque, un bac et un véritable port furent créés à Bénouville pour traverser l’Orne. A la fin du 18ème siècle, l’architecte Claude Nicolas Ledoux érigea un château sur l’emplacement du précédent monument médiéval, château où siègea la Chambre Régionale des Comptes de Basse-Normandie après avoir abrité pendant une grande partie du 20ème siècle une maternité. » http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/infos-tourisme/

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         « On peut suivre l'histoire de la seigneurie de Bénouville depuis le 14ème siècle. Domaine de la famille Panthou jusqu'en 1501, elle passe alors à la famille Gillain qui, par une habile politique matrimoniale accroît son importance et son influence. Le dernier seigneur de Bénouville, Antoine Gillain, qui avait vu sa seigneurie érigée en marquisat, lègue à sa mort en 1768 son titre et ses biens à sa seule héritière, sa fille Thérèse-Bonne. Celle-ci avait épousé en 1760 François Sanguin, marquis de Livry, lui-même issu d'une famille proche de la cour, lequel avait fait carrière dans les armées et avait atteint dans la marine royale le grade de chef d'escadre. A la tête d'une belle fortune, vivant à Paris, ils décident dès la disparition de leur père et beau-père de démolir la vieille demeure familiale de province, peut-être en mauvais état et surtout démodée, et de faire bâtir en ses lieu et place une résidence confortable, plaisante, moderne, en accord avec leur rang et les goûts de la société qu'ils fréquentent. Ils choisissent comme architecte Claude-Nicolas Ledoux. » http://www.calvados.fr/cms/accueil-calvados/Le-chateau-de-benouville/historique/la-seigneurie- de-Benouville.;jsessionid=09872848283B7E04E200AC1CE043A773

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         « Pour répondre à la croissance du trafic, un pont tournant remplaça dès 1857 le bac du canal de Caen à la mer. Ce pont laissa place en 1935 à un pont basculant autorisant le passage de navires de 5 à 6 000 tonnes. Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, un commando Britannique dirigé par le Major John Howard atterrit à l’aide de planeurs pour contrer, sur le flanc Est du débarquement, une éventuelle contre offensive allemande. Il a été relayé par les parachutistes de la 6ème Airborne dont l’emblème était Pégase, le cheval ailé ; d’où le nom de « Pégasus Bridge » donné au pont de Bénouville après la guerre. Première mairie libérée de France, église dont le chœur date du 11ème siècle, château et ponts, Bénouville est donc une commune riche en histoire.» http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/infos-tourisme/

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         « L'opération coup-de-main en juin 1944 consistait en la prise de possession des ponts de Bénouville (Euston 1, appelé plus tard Pegasus Bridge) et de Ranville (Euston 2, appelé plus tard Horsa Bridge) dans le cadre de l'opération Tonga menée par la 6e division parachutiste britannique. Sous les ordres du lieutenant-colonel Richard Geoffrey Pine-Coffin du 7ème bataillon d'infanterie aéroporté et du général de brigade Nigel Poett de la 5ème brigade aéroportée britannique, le major John Howard atterrit avec ses trois planeurs à 0 h 20 (mais 23 h 20 heure anglaise, ce qui explique que Bénouville ait une place du 5 juin 1944 et non une place du 6 juin 1944). Le major Howard dirige 180 hommes avec lesquels il prend le Pegasus Bridge. La compagnie du major avec le 7e bataillon tinrent les deux ponts malgré les contre-attaques allemandes et les nombreuses pertes. Le Café Gondrée, qui existe toujours, fut la première maison libérée de l'occupation allemande par les Alliés lors de la bataille de Normandie. Thérèse et Georges Gondrée ont eu un rôle actif dans la réussite de cette opération. Leur fille Françoise est la fondatrice avec le général Gale, président de l'association pour la sauvegarde du site-musée de Pegasus Bridge et batterie de Merville. » (Wikipédia)

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    Lieux

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    Photo 3 extraite de http://patrimoine-de-france.com/calvados/benouville/eglise-3.php

         Église Notre-Dame-du-Port, construite du 12e siècle au 16e siècle, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 4 octobre 1932. (wikipédia)

         L'église est dédiée à Notre-Dame : son chœur de la fin du 12ème siècle possède des voûtes en ogive et sa nef date probablement du 16ème ou du début du 17ème siècle. Le chœur a été décoré de fresques par le peintre religieux Louis Chifflet vers 1895 : on remarque deux tableaux en arcature représentant chacun une scène de « l’enfance du Christ ». Dans la nef une plaque funéraire datée de 1768 mentionne Antoine Gillain, marquis de Bénouville. Les armoiries de la famille Gillain sont insérées dans un oval de sable et composées d’un chevron d’or, d’un croissant d’argent à dextre, d’une étoile d’or à senestre et d’un lion armé et lampassé de gueules en pointe, le tout surmonté d’une couronne de marquis.

         Deux statues en bois retiennent l’attention :

    • Saint Eutrope (16-17ème siècle) ; évêque guérisseur de l’hydropisie. L'hydropisie est un épanchement de sérosité dans une cavité naturelle du corps (spécialement l’abdomen) ou entre les éléments du tissu conjonctif.

    • Notre dame du port

    On constate également l’existence d’une remarquable réserve eucharistique en pierre polychrome. Elle se compose de deux étages cylindriques superposés couronnés d’une colombe. » http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/eglise/

    Autres informations : http://patrimoine-de-france.com/calvados/benouville/eglise-3.php

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         Château de Bénouville conçu par l'architecte Claude Nicolas Ledoux entre 1768 et 1785 pour le marquis Sanguin de Livry, gendre du marquis Guillain de Bénouville. On dit que Ledoux ne serait venu à Bénouville qu'une seule fois. Il demanda à Angibeau puis Devilliers de Maisonrouge de s'occuper du chantier. Le château appartient depuis 1927 au conseil général du Calvados qui y installe une maison maternelle pour les futures mères en difficulté, des enfants abandonnés ou handicapés. Par la suite, la maternité logera les enfants de l’assistance publique jusqu’à la fin des années 70. Après une campagne de restauration en 1985, la chambre régionale des comptes s’y installe jusqu'en 2012. La visite du château, classé monument historique, est ouverte au public depuis 1990 et présente régulièrement des expositions. http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/chateau/ + wikipédia

    A voir aussi le site Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_B%C3%A9nouville et http://www.calvados.fr/cms/accueil-calvados/Le-chateau-de-benouville

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    Le château-maternité : « En 50 ans, près de 18 000 enfants sont nés dans ce château du bord de l'Orne. Bien plus y sont passés. Un livre compte l'histoire de ce lieu emblématique.

         Quand on passe devant le château de Bénouville, difficile d'imaginer les rires de centaines d'enfants derrière ces hauts murs austères. C'est pourtant dans ce lieu historique, au bord de l'Orne (non le canal !), que le conseil général du Calvados choisit d'ouvrir, en 1927, une maison maternelle départementale. Pendant dix ans, les services de la maternité s'installent pour les futures mères en difficulté. On construit des pavillons dans ce lieu qui tombait en ruines. Le conseil général abonde de financements », explique Vincent Le Grand, directeur du dernier ouvrage consacré à la maternité.

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         Plus de 400 accouchements par an s'y déroulent, entre 1929 et 1936. Une ambulance va jusqu'à chercher les femmes dans le besoin à l'autre bout du département. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château devient un lieu de Résistance. Sa directrice, Léa Vion, cache dans les sous-sols des réfractaires et des aviateurs. La demeure est relativement protégée, cachée à l'abri du grand parc arboré, et signalée par la grande croix rouge sur le toit.

         Mais au moment du Débarquement, à quelques pas de Pegasus bridge, le château est à portée de fusil de l'ennemi. « Malgré l'agitation, les accouchements se poursuivent dans les caves », raconte Vincent Le Grand. Le long des couloirs, les berceuses s'affairent derrière des rideaux blancs, se partagent seaux d'eau et lits de fortune.

         Dans les années qui suivent la Libération, environ 250 enfants naissent au château chaque année (dont le chanteur Gérard Lenorman). Jusqu'aux années 1980, la maternité diversifie ses activités. De nouveaux procédés de puériculture sont mis en place. Un préventorium ouvre, dédié aux enfants infectés par la tuberculose.

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         Mais son fonctionnement coûte cher. Un rapport commandé par le conseil général parle d'un « gouffre financier ». Dans un hôpital traditionnel, une femme restait une douzaine de jours alitée. À Bénouville, une jeune mère pouvait entrer au château cinq mois avant son accouchement, et rester un an après. Les directrices successives défendent les valeurs morales de l'établissement, le travail pour éviter l'abandon, l'apprentissage du rôle de mère... La maternité se dégrade. Entre 1983 et 1985, les services ferment les uns après les autres. « Un véritable combat syndical s'engage. Ce sont des aventures humaines douloureuses, souligne Vincent Le Grand. Certaines berceuses ne parviennent toujours pas à témoigner ». Livre ."Maison maternelle départementale, château de Bénouville, 1928/1985" ouvrage collectif conçu par Raymond Falaise paru aux éditions Cahiers du temps» Article extrait du site Ouest-France : http://www.ouest-france.fr/la-maternite-de-benouville-histoire-de-femmes-1794852

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          Café Gondrée : "Le café Gondrée, situé à 20 m du Pegasus Bridge et où se trouvaient Thérèse et Georges Gondrée, est souvent présenté comme la première maison de France continentale à avoir été libérée. Cependant, l'historien Norbert Hugedé a publié dans son ouvrage dédié à l'opération Deadstick que c'est la maison située en face et appartenant à Louis Picot qui a été contrôlée en première lors des combats. La maison Gondrée n'a ouvert ses portes aux soldats alliés qu'au petit matin du Jour J4. Il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 5 juin 1987, modifié le 16 décembre 1993." http://fr.wikipedia.org/wiki/Caf%C3%A9_Gondr%C3%A9e

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          Pegasus Bridge, site du premier contact au sol des troupes alliées lors de l'opération Overlord. Le pont a été reconstruit en 1994 fidèle à sa forme initiale, mais légèrement plus grand. L'ancien pont est conservé au musée, à quelques dizaines de mètres du nouveau dans un site naturel classé. (wikipédia)

         « Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 à 23 h 16, heure locale, le commando « Oxfordshire and Buckinghamshire Light Infantry » mené par le major John Howard a pris le pont à l’aide de trois planeurs Horsa. Dès lors, le pont a été nommé Pegasus Bridge en raison de l’emblème Pégase porté par les soldats britanniques de la 6ème Airborne. Le pont originel inauguré en 1857 par Napoléon III en même temps que le canal, était un pont tournant. En 1890 et 1905 il fût agrandi pour faire face au trafic naval, mais très vite il s’avéra trop petit et en 1932 le conseil général décida de le remplacer. Le choix se porta sur un pont basculant de type Scherzer de 25 mètres de portée ; inauguré en 1935, il connut son heure de gloire en 1944.

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         En 1985, on allongea le tablier, mais déjà la mécanique montrait des faiblesses, son changement devenait inévitable : on reconstruisit le même type de pont, mais en plus grand et il a été mis en service un peu avant juin 1994, date du 50ème anniversaire du débarquement en Normandie.

         Depuis 2000, le « pont historique » est désormais exposé au musée Mémorial de Ranville à deux pas de son emplacement initial. » http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/site-pegasus/

    Voir aussi : http://www.memorial-pegasus.org/mmp/musee_debarquement/index.php

         Le canal de Caen à la mer : « Ce long ruban d’eau de 14kms laisse passer les bateaux depuis 150 ans. Dès l’inauguration en 1857, c’est un succès, et en 1871, le canal permet le trafic à plus de 3000 bateaux de commerce. De multiples aménagements facilitèrent un développement régulier tout au long de ces années. Les vastes emplacements de la rive droite furent utilisés pour la construction de quais et l’installation de grues de déchargement. Entre 1918 et 1930, le tonnage doubla pour atteindre 2 millions de tonnes. Le pillage de l’occupation allemande et les bombardements de 1944 provoquèrent d’importants dégâts sur toutes les installations portuaires, mais l’aide des Britanniques permit la remise en marche de l’activité. Ce cordon liquide n’a pas seulement favorisé l’économie de la région. Plan d’eau pour sports nautiques, lieu de promenade, domaine de prédilection des pêcheurs, le canal, partie intégrante de l’environnement naturel, s’est imposé comme un lieu très riche d’activités partagées par l’ensemble des habitants des neufs communes qui le bordent.

    Source : « Un port dans la plaine de Caen à Ouistreham » de Patrick David, Serge David, Chantal Le Baron et Yves Marchaland » http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/canal/

         Les lavoirs : « Jusqu’à la moitié du 20ème siècle, les habitantes de Bénouville étaient très occupées au lavage du linge familial en utilisant les lavoirs communaux. Le lavoir principal, situé dans un cadre champêtre au bout du chemin du lavoir, à quelques dizaines de mètres du canal, a été utilisé et entretenu régulièrement jusqu’au début des années 60 puis laissé à l’abandon. La municipalité a décidé sa restauration en s’appuyant sur une photo de carte postale, unique témoignage de son architecture d’origine. L’association d’insertion AIRE a entrepris les travaux en hiver et printemps 2007 avec le soutien d’entreprises locales pour une partie des fournitures. La qualité de la restauration de ce lavoir est saluée par tous les visiteurs. Au bout du chemin de la fontaine se trouve le second lavoir communal. Il n’en reste qu’un amoncellement de pierres et de briques récemment dégagées des broussailles qui le masquaient des promeneurs du chemin de halage, le long du canal de Caen à la mer. Malheureusement, les archives sont inexistantes ; c’est pourquoi la mise en valeur de ce patrimoine sera limitée au réagencement des pierres et des briques. » http://www.mairie-benouville.fr/tourisme/lavoir/

    Personnalités liées à la commune

          François-Hyppolite Sanguin, « né en 1715, fait carrière dans l'armée. Tout d'abord comme marin. Comme tous les aspirants officiers, il intègre l'une des compagnies de garde-marine de Brest, Toulon ou Rochefort. Il y apprend le maniement des armes, des rudiments de tactique, le dessin, l'hydrographie, les mathématiques, l'anglais. Il devient enseigne de marine en 1731 et capitaine en 1735. En 1760, il est chef d'escadre. » http://www.calvados.fr/cms/accueil-calvados/Le-chateau-de-benouville/historique/la-seigneurie-de-Benouville./la-carriere-militaire-du-marquis-de-livry;jsessionid=28F2DE448F7940E640A9ABD261FE37F4 et http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois-Hyppolite_Sanguin

         Général Sir Richard Gale Commandant la 6th Division aéroportée. http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Gale

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         Thérèse, Georges et Françoise Gondrée.

         Annie Girardot (1931-2011), actrice. Lorsque la future actrice était enfant, sa mère était sage-femme au château de Bénouville. http://fr.wikipedia.org/wiki/Annie_Girardot

         Gérard Lenorman (né en 1945 au château-maternité de Bénouville), chanteur. http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Lenorman

         Thierry Marie (né en 1963 à Bénouville), coureur cycliste. http://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Marie

         Louis-Karim Nébati (né en 1972 à Bénouville), acteur. http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Karim_N%C3%A9bati

    Le site internet de la commune de Bénouville est http://www.mairie-benouville.fr/

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