• MAY-SUR-ORNE (rive droite)

     May-sur-Orne est séparée de Feuguerolles-Bully par l'Orne. Au sud, la limite communale avec Laize-la-Ville et Clinchamps-sur-Orne suit le cours de la Laize, qui se jette dans le fleuve au val de Clinchamps.

    MAY-SUR-ORNE (rive droite)

    Photo du monument des mineurs extraite de http://commons.wikimedia.org/wiki/File:May_sur_Orne_m%C3%A9morial_mineurs.JPG

    MAY-SUR-ORNE (rive droite) MAY-SUR-ORNE (rive droite) est un village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Mayens et les Mayennes.
         La commune s'étend sur 3,5 km² et compte 1 862 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 533,5 habitants par km²,
    May-sur-Orne a connu une hausse de 8,5% de sa population par rapport à 1999. En 2006, le nombre d'habitants à May-sur-Orne était de 1 859 habitants, soit 533 habitants au km².
         Entourée par les communes de Fontenay-le-Marmion, Laize-la-Ville, Clinchamps-sur-Orne, Feuguerolles-Bully, Saint-André-sur-Orne et Saint-Martin de Fontenay, May-sur-Orne est située à 2 km au sud-ouest de Saint-Martin-de-Fontenay, à 9 km au sud du centre de Caen. C'est une commune péri-urbaine qui se situe dans le canton de Bourguébus. May-sur-Orne est traversée par la départementale 562 et par la départementale 41b, qui forme un ensemble perpendiculaire..
         Située à 59 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, la rivière la Laize sont les principaux cours d'eau qui bordent la commune de May-sur-Orne . http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-may-sur-orne.html + Wikipédia

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    Etymologie

         « Mayeium 1050, peut-être nom en -acum précédé du nom de personne gallo-romain Maius. (Cf. Mayac et Mey: Maieum 973) » (wikipédia)

    MAY-SUR-ORNE (rive droite)   Blason de May-sur-Orne :

     « De gueules aux deux pics de mineur passés en sautoir accompagnés, en chef, d'un casque de mineur, en cœur, d'une lampe de mineur brochant sur les manches et, en pointe, d'un soc de charrue, le tout d'argent, au chef cousu d'azur chargé de l'inscription "PRO LABOR" en lettres capitales aussi d'argent. » (Wikipédia)

    Histoire

         « Bordée par les vallées de l'Orne et de la Laize, la commune de May est connue pour son site archéologique, sa roche, le grès de May et ses gisements de fossiles, Trilobites et Ammonites.
         Proche du tumulus néolithique de la Hogue, un mégalithe disparu, la « Roche Dormante », atteste l'ancienneté de l'occupation humaine. Le chemin Haussé, voie romaine reliant les antiques cités de Vieux et de Jort est encore visible. Relevant au Moyen âge de la puissante seigneurie des Marmion, la paroisse Notre-Dame de May est patronnée par l'abbaye voisine Saint-Étienne de Fontenay. Selon Michel Béziers Notre-Dame de May comportait 45 feux au 17ème et dépendait de la sergenterie de Bretteville, élection de Caen. Le notariat lui, dépendait de Clinchamps. Il était possible d'apercevoir les clochers des cinq abbayes (Saint-Étienne, la Trinité de Caen, l'abbaye d'Ardennes, celle de Fontenay puis de Barbery).
         L'église médiévale, détruite en 1874 se composait d'une nef du 12ème et d'un chœur de la fin du Moyen Âge. Sous l'Ancien Régime et jusqu'au 20ème, la population du village travaillait dans les fermes, propriétés de riches Caennais, dans les moulins, et surtout dans les carrières à la fabrication des pavés. Les femmes travaillaient la dentelle aux fuseaux.
         En 1701, la commune comprenait 40 taillables relevant de l'impôt pour une somme totale de 145 livres, 72 sols et 6 deniers ; en 1720, la parusse comprit 48 taillables pour un principal de taille s'élevant à 253 livres.
         Aujourd'hui encore on peut lire dans le Dictionnaire Universel de la France de 1771 que « May était une paroisse de la campagne de Caen, dans la Basse Normandie, à deux ou trois lieues au levant d'hiver de Caen ; intendance et élection de cette ville, diocèse de Bayeux, parlement de Rouen, sergenterie de Bretteville sur Laize. On y compte 150 habitants.
    Ce lieu est remarquable par les restes de chaussée que l'on croit être un ouvrage des Romains. Elle est couverte d'environ trois pieds de terre. Près du hameau du « Val de Laize », dépendant de la paroisse de Clinchamps, qui n'est pas éloigné de celle de May, on a découvert une carrière de marbre veiné de rouge foncé. Il y a sur le chemin de Fontenay une autre carrière d'où l'on tire de la pierre à bâtir fort dure, connue dans le pays sous le nom de « Voisdry ». A ces particularités on pourrait ajouter celle d'une fontaine d'eau abondante, qui dans les plus grandes sécheresses où toutes les fontaines du voisinage tarissent entièrement, celle dont nous parlons fournit environ vingt muids d'eau par jour aux habitants. »
    Tandis que la population était de 423 personnes en 1818, elle passa à 517 en 1841, puis à 619 personnes en 1881, pour finir à 740 en 1931. »
    http://www.may-sur-orne.fr/web/historique_mayen.html

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         La commune était autrefois indirectement desservie par deux lignes ferroviaires :

         - par la ligne Caen-Cerisy-Belle-Étoile sur l'axe Caen–Flers–Laval (gare de Feuguerolles-Saint-André, à moins de deux kilomètres à vol d'oiseau du centre de la commune) ;

         - par la ligne Caen–Falaise des Chemins de fer du Calvados entre 1902 et 1933. » (Wikipédia)

         « L'installation d'une mine de fer à la fin du 19ème siècle bouleversa durablement la vie du pays et attira plusieurs vagues de populations nouvelles, Italiens, Polonais, Russes.... Occupant plusieurs centaines d'ouvriers l'extraction dure jusqu'à la fermeture de la mine en 1968. L'histoire nous raconte que,par un beau jour de 1884, monsieur Ernest Chollet, alors maire de May, fut à la chasse avec son amis géologue lorsque celui-ci se pencha sur la terre rouge. La mine était née.. ; La légende veut que se soit en creusant des fosses pour planter des pommiers que M. Chollet ait découvert lui-même tout le parti que l'on pourrait tirer de cette terre rouge regorgeant de minerai de fer. De l'automne 1891 où Ernest Chollet, lança l'extraction, à l'automne 1969, 20 millions de tonnes de minerai de fer, d'une teneur de 40 à 50 %, furent sorties de la mine par la volonté des arrières - grands pères, le courage des pères et la sueur des fils... Pendant 71 ans, May a vécu pour la mine, et elle se retrouva veuve du jour au lendemain.

         Pendant la guerre la mine garda son activité, puis travailla pour les Allemands. Ces derniers après s’y être cachée pendant les combats inondèrent les galeries et détruisirent les installations de jour. » http://www.may-sur-orne.fr/web/historique_mayen.html

         « La commune a été marquée par cette activité minière (minerai de fer) à faible profondeur (« bassin minier de May-sur-Orne »), avec séquelles minières (dont mouvements de terrain et affaissements miniers, en raison de la présence dans le substrat schisto-gréseux de « couches de fort pendage (de 50 ° à 90°) et de puissance moyenne 3 à 4 m, mais pouvant atteindre localement plus de 10 m. L’exploitation en chambres verticales ou très inclinées a engendré la création de vides sur une hauteur relativement importante, avec des volumes dépilés pouvant être conséquents ») susceptibles d'affecter les infrastructures de transport de biens, d'énergie et de personnes, et les habitations ou d'autres constructions. Des études d'aléas ont été faites dans les années 2000, sur la base notamment de plans dressés par Geomines en 1970 qui avaient déjà mis en évidence des « zones éboulées, de galeries inaccessibles, de toits de chambre ou de galeries dégradés », confirmées par des inspections ultérieures. Les communes voisines de Fontenay-le-Marmion, Saint-André-sur-Orne, Saint-Martin-de-Fontenay sont également impactées. Les inspections ont aussi montré qu'à quelques reprises (nord de la mine) un léger manque d’oxygène (18%) alors accompagné d'une augmentation du taux de CO2 (2 %), mais sans grisou (méthane). Les dosimètre que portaient les personnels ont montré que les concentrations de radon « étaient relativement importantes et qu’il convenait d’en tenir compte pour la cartographie de l'aléa ». (Wikipédia)

         « Internationalement connue pour sa richesse géologique, May Sur Orne, ancienne cité minière, a été détruite à 80% pendant la dernière guerre. (...)

         Après avoir été pris et repris sept fois May sur Orne fut libérée en 1944 par les soldats canadiens. L'un d'eux le sergent Dugrenier raconta que :
         « partout, ce n'était plus qu'un brasier. On avançait dans un véritable enfer. Ce fut l'une des plus dures batailles de Normandie ». En effet, le 10 août 1944, dans un ultime assaut, les soldats canadiens du régiment « Maisonneuve » enlevèrent la petite cité. Ce fut sans doute la libération la plus longue, car il a fallu 16 jours aux troupes alliés pour faire un kilomètre. Le kilomètre qui séparait le pont de Saint Martin de Fontenay du bourg de May sur Orne. 163 des 187 maisons de la commune furent rasées.
         La reconstruction nécessaire s'effectua entre 1952 et 1962, avec l'édification de la nouvelle mairie, maintenant devenue la cantine des enfants, l'école primaire, l'église, ainsi que les habitations bordant la route nationale. » http://www.may-sur-orne.fr/web/historique_mayen.html

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    Lieux : Malgré les combats et les bombardements de l'été 1944, la ville conserve un riche patrimoine.

          Le monument des Mineurs : Ce monument fut inauguré au cours de la cérémonie de la Sainte-Barbe, en décembre 1962. La conception de ce mémorial avait été décidé par monsieur Vincent, directeur de la mine, ainsi que les représentants des communes minières de May sur Orne.
         La décision prise à l'unanimité des membres, fit suite à l'annonce de la prochaine fermeture des mines de May et tint compte du désir de vouloir garder quelques souvenirs attachés à l'activité minière de ces 50 dernières années, en particulier les plaques fixées jusqu' alors dans le hall d'entrée des grands bureaux et sur lesquels sont inscrits les noms des membres du personnel disparus, soit au champ d'honneur, soit au travail à la Mine. Le monument fut imaginé par Pierre Bienvenu, architecte, et réalisé par l'entreprise Générini. C'est un monument de 2 mètres de haut sur 12 mètres de long construit à la fois en béton puis en grès de May, au sein duquel a pris place la statue de la Sainte-Barbe, patronne des mineurs. Sur la stèle nous pouvons lire «En souvenir des travailleurs des Mines de May et de Saint-André » http://www.may-sur-orne.fr/web/monument_des_mineurs.html

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          L'église Saint-Firmin. Elle date de la Reconstruction de 1955 à 1960. « Cette église est la troisième qui a été bâtie sur la crête de la colline où s'agglomère le bourg de May sur Orne. Le déblaiement des ruines nous a livré quelques vestiges anciens. Des dalles funéraires sont apparues, l'une en écriture gothique pouvait être du 17ème siècle, l'autre, assez lisible portait le nom de Jean Jacques Christophe Chollet, sieur de Surlaville, mort en 1720, âgé de 33 ans. La pelleteuse des déblayeurs a encore mis à jours le sarcophage de M. l'abbé Berthaux, qui fut curé de 1820 à 1842.
    Le premier édifice religieux de la paroisse fut sans doute construit vers le 6e ou 7ème siècle de notre ère. Il était sous le patronage de Saint-Firmin, évêque d'Amiens et martyr. L'église, par la suite eut Notre-Dame pour titulaire. La « vierge à l'enfant » du 18ème siècle, sculptée en pierre de Caen fut fort heureusement sauvée des décombres de l'église. Jean de Saint Jean fut prêtre de Notre Dame de May en 1570.
         La première église, romane vécu jusqu'à la fin du 19ème siècle. Sur celle-ci, les murs étaient maçonnés en arrête de poisson. La porte en plein cintre, majestueuse s'ouvrait à l'Ouest sous une archivolte ornée d'un double zig zag. Mais le chœur avait été refait au 15ème siècle. Placée entre le chœur et la nef, la tour que couronnait un dôme en forme de cloche était plus récente.
    En 1868, fut nommé à la cure de May, un prêtre au caractère rude, l'abbé Casimir Mériel qui se retira en 1898. La seconde église a donc était construite par sa volonté dans les années 1870. L'abbé Mériel n'avait pas hésité à faire raser l'antique église pour la remplacer par un édifice en néo-roman. La structure en fut simple, vaste, aux voûtes trop surbaissées, digne mais sans une atmosphère profonde de spiritualité.
         Pour la dernière église, monsieur Louvel, alors maire de May voulu prélever un bloc calcaire de la seconde afin de créer l'assise de la nouvelle. La nouvelle église fut édifiée sous l'œil vigilent de M. Pierre Bienvenu, architecte. Ce dernier a voulu que par sa masse nette et ascendante, l'édifice vint terminer le mouvement du sol qui s'élève des deux vallées et fait étape sur cette crête. La flèche centrale n'est qu'une flamme qui s'étire et crée la légèreté de l'élan. Pierre Bienvenu a opté pour un genre monumental, alliant autour d'un plan carré la pierre de Caen et le béton. La flèche couverte de cuivre accentue les verticales de l'édifice. Très sobre, l’édifice est éclairé de grandes verrières en béton et pavé de verre représentant le Christ et la Vierge, œuvre de Charles Émile Pinson et Barillet.
         La grande croix qui surmonte l'autel et la table de communion a été forgée dans les ateliers de la mine. De même, trouve t-on une huile sur ciment de Charles Émile Pinson, peintre qui fut Grand Prix de Rome et professeur de l'école des Beaux Arts.
         Le chemin de Croix, quant à lui a été réalisé en céramique et bois par Yvonne Guégan afin de remplacer les peintures censurées de Pinson. Cette nouvelle église fut inaugurée le 10 juillet 1960. » http://www.may-sur-orne.fr/web/eglise_saintfirmin.html

          Le musée. Situé dans le parc de la mairie, ce lieu de mémoire retrace le passé industriel de la commune, depuis l'exploitation du grès jusqu'à celle du minerai de fer. «... l'ancienne maison du directeur le la Mine d'alors. Cette maison avait été rachetée par la commune suite à la fermeture de la mine. Elle fit office de Mairie jusqu'en 2001, laissant place, dorénavant à une nouvelle structure, plus moderne et plus efficace. » http://www.may-sur-orne.fr/web/maison_du_directeur_de_la_mine.html

         La discordance de May-sur-Orne. D'intérêt géologique important, la discordance du calcaire jurassique sub-horizontal sur du calcaire cambrien plissé est visible près des stades de football. Voir http://www.etab.ac-caen.fr/discip/geologie/paleozoi/maycarr/cartes.htm et http://bernard.langellier.pagesperso-orange.fr/erosion/discordance.htm

          Le château Sainte-Marie du 18e siècle ayant appartenu à la famille Sainte-Marie, seigneurs de May. « Après le parc de la Mairie nous ressortons pour nous rendre sur la place du Lavoir. Sur place, nous y voyons un petit château du 18ème siècle ayant appartenu à la famille de Sainte-Marie, qualifiés de seigneurs de May au 17 et 18ème siècles. » http://www.may-sur-orne.fr/web/chateau_sainte_marie.html

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          Le château Druelle (ci-dessus) : « Le château de Sainte-Marie admiré, nous nous rendons rue Eugène Figeac, pour y découvrir l'autre château, le château Druelle. Ce château datant du 18ème siècle a été conçu à la fois en pierre de Caen et en grès de May. » http://www.may-sur-orne.fr/web/chateau_druelle.html

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          Les moulins situés en contrebas proche de l'Orne. (voir ci-après)

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         L'ancienne mairie située sur l'ancien temple protestant détruit au cours de l'été 1944. « Cette mairie construite en 1962 par Pierre Bienvenu a aussi servi de bureau de Poste. Elle fut construite à l'emplacement même d'un ancien temple protestant ayant été conçu à l'initiative de la famille Saint-Jean de Caen. Aujourd'hui, elle fait office de cantine pour les enfants du village.
    Sur la porte principale, on peut remarquer deux compositions en céramique de Bavent réalisées par Yvonne Guégan sur le thème du travail de la mine. Ces céramiques ont pour devise « Pax Labor ». http://www.may-sur-orne.fr/web/ancienne_mairie.html

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         L'ancienne école Sainte-Thérèse ouverte par les sœurs Oblates de Lisieux en 1932 et fermée en 2011. Elle est le seul bâtiment de la ville portant encore les stigmates de la guerre. De plus, elle contient une statue de Sainte-Thérèse située aujourd'hui dans la salle paroissiale.

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    Silo du haut, il servait au stockage du minerai sortant du puits central (3 éléments de 1500 m3) - Silo du bas, il servait au stockage du minerai broyé (4 éléments de 5000 m3) Photos extraites du site http://www.patrimoine-minier.fr/normandie/index.html

          Des vestiges de la mine comme un silo à minerai visible de loin, ou encore des centres d'hébergements pour les ouvriers (voir la mine ci-après)

    Personnalités liées à la commune :

         Fabrice Divert, footballeur né dans la commune. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fabrice_Divert

         Frank Dumas, footballeur ayant vécu dans la commune. http://fr.wikipedia.org/wiki/Franck_Dumas

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    Site internet de May-sur-Orne : http://www.may-sur-orne.fr/web/

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