• L'Orne alimente le lac de retenue de Rabodanges qui s'étire le long du lit originel du fleuve. Ce lac artificiel sert de limites communales entre Les Rotours, rive droite, et Putanges-Pont-Ecrepin puis Sainte-Croix-sur-Orne, rive gauche.

         LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite) est un petit village français, situé dans le département de l'Orne en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Routoiriens et les Routoiriennes. Les Rotours a compté jusqu'à 330 habitants en 1846.
          La commune s'étend sur 5,1 km² et compte 103 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2007. Avec une densité de 20,4 habitants par km²,
    Les Rotours a connu une nette hausse de 12% de sa population par rapport à 1999.
          Entourée par les communes de
    Putanges-Pont-Ecrepin, Champcerie, Sainte-Croix-sur-Orne, Saint-Aubert-sur-Orne, Rabodanges, Bazoches-au-Houlme et Giel-Courteilles, Les Rotours est situé à 2 km au nord-ouest de Putanges-Pont-Écrepin la plus grande ville à proximité.
          Située à 184 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau des Monts Hiboux, le ruisseau de Vienne sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune des Rotours.
    http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-les-rotours.html + Wikipédia

    Les Rotours  est une ancienne commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Putanges-le-Lac (Les communes de Chênedouit, La Forêt-Auvray, La Fresnaye-au-Sauvage, Ménil-Jean, Putanges-Pont-Écrepin, Rabodanges, Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne et Sainte-Croix-sur-Orne deviennent des communes déléguées).

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite)

          Un hameau dit « La Soule » fait penser que jadis on y pratiquait un jeu qui consistait à lancer par-dessus un toit une balle d'étoffe ou de cuir contenant une somme d'argent que se disputaient les gars du Pays, le 2ème dimanche après un mariage.

          Autrefois, la commune des Rotours était composée de deux fiefs :

          a) « Notre-Dame-des-Rotours », étant un quart de haubert et relevant du Roi, s’étendant sur Pontecrespin et les paroisses environnantes et consistant en manoir seigneurial, domaine fieffé et non-fieffé, moulin à blé, communes, droit de colombier, garenne et tous droits seigneuriaux à fiefs nobles appartenant. Le patronage de l’église fut aumôné au 13e siècle aux abbés et religieux de Saint-André de Gouffern. Ce fief appartenait à une famille chevaleresque qui en porta dès lors le nom « des Rotours ».

          b) Un fief relevant de la seigneurie de la Carneille.

         La famille des Rotours se divisa en plusieurs branches et essaima aux alentours des Rotours où elle posséda diverses terres et seigneuries : Pointel, Fumeçon (aujourd'hui sur le territoire de Champcerie), Le Sacq (Ménil-Gondouin), et Méguillaume (Chênedouit). Celles-ci furent confisquées en 1418 par Henri V, roi d’Angleterre. La famille des Rotours ne les récupéra qu’en 1450.

         Le 3 novembre 1684, la terre et seigneurie des Rotours fut vendue, avec son vieux château, par les héritiers de François des Rotours au Marquis de Vassy-la-Forêt. Elle fut revendue en 1700 à M. Foucault puis en 1701 à Nicolas d’Ozenne qui fit construire le château actuel. Le 7 septembre 1747, la seigneurie et le nouveau château des Rotours furent acquis par Noël François Angot, seigneur du Coisel, ancêtre des Angot des Rotours et des Pichot de La Marandais, actuels propriétaires du château. (wikipédia)

          « Une croix en granit a été érigée sur la rive droite du lac E.D.F de Rabodanges, sur la commune des Rotours, près du Pont de Sainte-Croix. Au pied de la Croix, une dalle indique qu'elle date de Messire Jacques Turgot décédé en 1659, haut personnage, conseiller du Roi, intendant de justice, police et finances de la province de Normandie. Anciennement cette croix était sur le milieu du vieux pont romain franchissant l'Orne, détruit par les allemands le 17 août 1944. Elle délimitait les communes de St-Aubert, Ste-Croix et les Rotours.
          A cet endroit, autrefois, existait un village de 80 habitants dont les murs ont disparu totalement sous la retenue du barrage E.D.F . On y trouvait tous les corps de métiers, notamment des tisserands, un maréchal ferrant, un café...
          Sur le lac, on pratique le ski nautique. Le Motonautique Club de Basse-Normandie (M..C.B.N) accueille chaque année des championnats de ski nautique. La pêche est pratiquée au bord du lac et en barque.
          Il existait, avant la mise en eau du lac de nombreux moulins : l'Artour, Carel, de Pierre et Sainte-Croix (en limite avec
    les Rotours) avec, en plus, les pêcheries qui prenaient surtout de l'anguille à l'automne, au moment où la rivière était en crue, quand ce poisson émigre vers la mer des Sargasses pour y pondre. » http://www.cc-valdorne.fr/communes/rotours.html

    Toponymie

          Les Rotours était un lieu où l’on rouissait les plantes, de l’anglo-saxon rotan, rotian, du scandinave rotna et de l’ancien haut-allemand rozjan (pourrir). Le rouissage se pratiquait par macération pour faire se désagréger les matières dont on voulait se débarrasser et qui agglutinaient certaines fibres textiles comme le chanvre ou le lin. (Wikipédia) « L'étymologie des Rotours viendrait du mot « Routoir » qui désignait en ancien français l'endroit, généralement une mare, où l'on faisait rouir le chanvre. La forme ancienne de ce mot est précisément rotour ou routour. Il existe d'ailleurs un lieu-dit « Les Chenevières » (champs de chanvre) comme témoin de cette époque du 10ème siècle. » http://www.cc-valdorne.fr/communes/rotours.html

    Lieux :

         Le château des Rotours.

    LES ROTOURS (rive droite)

    Le château des Rotours : photo ci-dessus http://aa-camo.fr/?p=3726

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite)

    LES ROTOURS (rive droite)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Colombier du château photo extraite de http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-29921.html

         Le manoir des Rotoureaux.

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite)

         L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. Une Vierge à l'Enfant du 14e et un piédestal avec statuettes (saintes femmes, saint Pierre, saint Paul) du 17e siècle sont classés à titre d'objets aux Monuments historiques.

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite)

    Photo à gauche : http://www.cc-valdorne.fr/communes/rotours.html / Photos à droite http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_61354_Les%20Rotours.html

         L'ancien presbytère : la Rotourelle.

         Le lac de Rabodanges est traité à la commune du même nom.

     

    Personnalités liées à la commune ;

         Famille des Rotours :

         Guillaume des Rotours, né vers 1160, chevalier normand, aurait pris part à la troisième Croisade en 1191 où il aurait été témoin d’une charte passée à Jaffa par Guillaume de Ducto au bénéfice de Nicolas de Vivers.

          Jean des Rotours, né vers 1340, seigneur des Rotours et de Pointel, donna, par acte passé en 1364, le local du presbytère des Rotours (aujourd'hui la Rotourelle) . En novembre 1377, il reçut aveu de Jean Couillard pour deux acres et demi de prés. Il épousa Alix de Monceaux, dame du Bourg-Saint-Léonard, fille de Robert de Monceaux, écuyer, seigneur de Lonlay-le-Tesson. Par acte du 20 février 1378, Jean et son épouse donnèrent en bail à fief à Colin du Barquet, écuyer, et à sa femme, Guillemette, divers héritages situés au Bourg-Saint-Léonard et dans la forêt de Gouffern.

          François des Rotours, seigneur des Moulins et des Rotours, sieur de Sainte-Honorine, baptisé aux Rotours le 2 décembre 1607, y décéda le 3 septembre 1684. Il servit le Roi, en qualité de volontaire dans la Cavalerie, pendant les campagnes de 1630, 1635 et 1636 sous les ordres de messieurs de Vendôme, de Thianges et de La Lande-Héron. Il clama, en 1646, à droit féodal, la terre du Chêné vendue à Julien d’Oilliamson par René des Rotours. Il clama, de même, le 17 septembre 1658, des héritages situés dans la paroisse des Rotours et qui avaient été vendus par André des Rotours, seigneur de Sainte-Croix. Il rendit aveu, le 29 août 1664, à la châtellenie de La Carneille d’un fief qu’il avait acquis en 1646. Il fut maintenu noble à l'intendance d'Alençon par M. de Marle le 1er juillet 1667. Il fit aveu au Roi pour le fief de Notre-Dame des Rotours, le 17 août 1667. Après sa mort, la seigneurie des Rotours fut vendue, le 3 novembre 1684, au marquis de Vassy-la-Forêt.

          Guillaume des Rotours (1888-1970), homme politique.

          Robert des Rotours (1891-1980), sinologue.

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite)

    Cimetière des Rotours : plaque funéraire des Angot des Rotours, photo : Gilloudifs

          Famille Angot des Rotours :

          François Mathieu Angot des Rotours, né à Falaise le 17 janvier 1768 et décédé à Corbeil le 24 mai 1858, fut élève au corps royal d’artillerie (1789) puis lieutenant. Il émigra à l’armée de Condé (1792-1794) puis devint officier dans l’armée des Pays-Bas (1794). Après avoir émigré en Angleterre, il rentra en France en 1802 et devint chef de bureau au ministère de la maison de Louis XVIII, chevalier de Saint-Louis, administrateur de la manufacture des Gobelins (1816-1833) et chevalier de la Légion d’honneur. En 1820 il fut créé baron héréditaire par Louis XVIII. Élu député d’Argentan (25 février 1824-1827), il accéda au grade d’officier de la Légion d’honneur (1827).

          Jules Angot des Rotours, contre-amiral. Jean Julien dit Jules Angot des Rotours, né aux Rotours le 3 juin 1773 et décédé à Brest le 26 mars 1844, chevalier de la Légion d'honneur (23 juin 1810), capitaine de vaisseau de 2de classe (8 juillet 1814), chevalier de Saint-Louis (18 août 1814), officier de la Légion d'honneur (28 avril 1821), capitaine de vaisseau de 1re classe (1er février 1822), contre-amiral (17 août 1822), gouverneur de la Guadeloupe (28 février 1826-31 janvier 1830), grand-croix 5e classe de Saint-Ferdinand d'Espagne (1823), commandeur de la Légion d’honneur (20 septembre 1823), grand-croix de l'Ordre portugais de la Tour et de l'Épée (1824), commandeur de Saint-Louis (29 octobre 1826), grand officier de la Légion d'honneur (17 novembre 1837), admis au traitement de retraite (1er janvier 1838). Il est inhumé au cimetière Saint-Martin à Brest. Il épousa en 1815 Virginie Guilhem. (Wikipédia)

           « Pour l'histoire, il existe à la guadeloupe, à « Grande Terre », un canal baptisé « Canal des Rotours » en l'honneur du Contre-Amiral Baron Jean-Julien Angot des Rotours, nommé gouverneur de la colonie en 1826. Dix kilomètres relient l'intérieur de la commune de Morne à l'Eau au Grand Cul-de-Sac Marin à Vieux-Bourg. Il fut percé en 1829 par une main d'oeuvre composée de plus de 300 hommes libres et esclaves.
         Une plaque généalogique de la famille Angot des
    Rotours se trouve dans le cimetière. »
    http://www.cc-valdorne.fr/communes/rotours.html

    LES ROTOURS (rive droite) LES ROTOURS (rive droite) 

    Le colombier et le puits près du château des Rotours, photos : http://aa-camo.fr/?p=3726 + Gilloudifs

    Dans son ouvrage "Blason populaire de la Normandie comprenant les proverbes, sobriquets et dictons" tome 2 (1859) A. Canel relève, page 93, le sobriquet suivant concernant les habitants des Rotours : « LES PLEUTRES DES ROTOURS» A. Canel, 1859.


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  • Le lac de Rabodanges, alimenté par l'Orne, sépare la commune de Sainte-Croix-sur-Orne, rive gauche, de celle des Rotours, rive droite.

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) est un petit village français, situé dans le département de l'Orne en région Normandie. Située sur la rive gauche de l’Orne, en bordure du Lac de Rabodanges, Ste-Croix sur Orne a une superficie de 381 hectares.
         La commune s'étend sur 3,8 km² et compte 85 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2004. Avec une densité de 22,3 habitants par km², Sainte-Croix-sur-Orne a connu une nette hausse de 39,3% de sa population par rapport à 1999. Les habitants sont des Croisés.
         Entourée par les communes de Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne et Chênedouit, Sainte-Croix-sur-Orne est situé à 6 km au nord-ouest de Putanges-Pont-Ecrepin le plus grand bourg à proximité. Sa population est de 77 habitants, elle était de 71 habitants en 1975. On compte à Ste-Croix-sur-Orne deux cultivateurs et on dénombre un couple d’anglais en résidence principale et trois autres couples en résidences secondaires, ce qui représente 15 % de la population de la commune.
    Située à 170 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau de Vienne sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Sainte-Croix-sur-Orne. D'après http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-sainte-croix-sur-orne.html +
    http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    Sainte-Croix-sur-Orne  est une ancienne commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Putanges-le-Lac (Les communes de Chênedouit, La Forêt-Auvray, La Fresnaye-au-Sauvage, Ménil-Jean, Putanges-Pont-Écrepin, Rabodanges, Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne et Sainte-Croix-sur-Orne deviennent des communes déléguées).

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    Histoire

         Sainte-Croix-sur-Orne peut se vanter d’une longue histoire puisque son origine remonte en 1150 : Sancta Crux, autrement dit, Sainte-Croix. Ce nom vient sans doute de la Croix où aurait été crucifié Jésus-Christ et qui sera sanctifié plus tard, par l’église chrétienne. http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    1616 : Jacques Duguey est prêtre de Sainte-Croix.

    1621 : "noble homme Guillaume de Sainte-Croix".

    1627 : "Guillaume de la Cour, de Sainte-Croix". (Wikipédia)

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    Le manoir de la " Cour " s’élève près de l’église paroissiale, sur le plateau, dont un versant boisé borde la rive gauche du lac du Rabodanges au niveau du Pont de Sainte-Croix. Photo de gauche : http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-44269.html ; Photo de droite : http://www.chaslerie.fr/message.php?id=17300

    Le manoir de Sainte-Croix-sur-Orne :

         C'est un édifice remarquable connu dans toute la région. Il est constitué d'un corps central flanqué de deux poivrières. Vraisemblablement bâti à la fin du 16e siècle et agrandi à la fin du 17e, il présente une couverture en tuiles à quatre pans, surmontée de deux souches de cheminées monumentales. La façade sud est bordée de douves en eau, que l’on traverse pour accéder au jardin clos de murs. Le jardin donne au sud sur une pêcherie, actuellement à sec. Subsiste en place un châssis de fenêtre quasiment intact du milieu du 17e siècle. Il est inscrit au titre des Monuments historiques. (wikipédia) « Le manoir, prés de l’église fut sans doute bâti au milieu du 15ème siècle par François d’Osmond si on en croit le blason qui orne la porte d’entrée. L’ensemble architectural et décoratif correspond bien d’ailleurs à cette période de la fin de la Renaissance. A l’arrière du logis deux tours rondes donnent à l’ensemble un aspect féodal du plus bel effet. » http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    L’ancien pont de Sainte-Croix :
         Il était long d’une centaines de mètres, trop étroit puisqu’une seule voiture pouvait y circuler. Le passage des rivières était autrefois motif d’implorer une protection. Le pont gothique de Sainte-Croix-sur-Orne, détruit par la guerre, puis noyé par le barrage de Rabodanges, possédait un calvaire sur l’éperon de la pile centrale. Au cours des combats de la libération de 1945, ce calvaire fut dynamité. Heureusement, en 1890, Mme Delaunay, née Desvaux avait fait don au Bureau d’Aide Sociale de la commune d’une ferme située sur le territoire de Pont-Ecrépin. Sur le terrain de cette ferme se trouvait, en bordure de la grande route un calvaire en granit, en état d’abandon. Ce calvaire fut transporté jusqu’à une parcelle de terrain qui avait été donnée à la commune de Sainte-Croix sur Orne, au carrefour de la route de Briouze et de la route des Tourailles. Le calvaire fut béni le dimanche 5 mai 1985, par Monsieur l’abbé Colin qui desservait la paroisse. Ce qui fera dire à Monsieur le Curé : « Sainte-Croix a maintenant retrouvé son nom » http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

     

    Ci-dessus photos de la construction du pont de Sainte-Croix, à voir sur :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article126

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)   Le nouveau pont de Sainte-Croix-sur-Orne

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    La chapelle Saint-Roch :

         Au Moyen Âge, les pestes ont été à l’origine du culte de Saint-Roch. La chapelle de Saint-Roch, protecteur des animaux, fut commencée en 1867. Un pèlerinage y a lieu chaque année. De style roman, cette chapelle fait l’admiration des visiteurs, par sa fraîcheur, le bon goût de ses décorations et aussi sa solitude qui prête au recueillement et à la prière. Les vitraux qui garnissent les six fenêtres ont leur histoire, ils viennent de la basilique de l’Immaculée-Conception de Séez. M. le Supérieur les donna à la chapelle de Sainte-Croix, quand ils furent remplacés par ceux que les pèlerins de Séez admirent actuellement. La marche de l’autel provient de l’antique église abbatiale de Briouze, dont le chœur existe encore dans le cimetière. http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

         L’église :
    L’église cernée par son petit cimetière a connu différentes transformations au fil des ans. L’une d’elle fut malencontreuse car elle a compromis la solidité de l’édifice. Après une interdiction provisoire, l’église fut rebâtie au 19éme siècle. Le maître-autel daté de 1745 a été repeint en 1920. On remarque quelques belles statues, en particulier une Vierge couronnée de lys, un grand manteau à plis ramené devant elle. http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

    SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche) SAINTE-CROIX-SUR-ORNE (rive gauche)

    Photos : http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html

         Le four à chaux :
    Au lieu-dit le Cul de Chaudron existe un ancien four à chaux de forme circulaire. Il est très probable que ce nom insolite vient de la présence de cette ancienne construction qui a été remise en état. http://www.cc-valdorne.fr/communes/stecroix.html
         A voir également, le lavoir récemment rénové.

    Personnalité liée à la commune :

         Guillaume-René Lefébure (1744 à Sainte-Croix-sur-Orne - 1809), militaire, historien, médecin, écrivain politique et littérateur. (wikipédia) http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume-Ren%C3%A9_Lef%C3%A9bure

    Dans son ouvrage "Blason populaire de la Normandie comprenant les proverbes, sobriquets et dictons" tome 2 (1859) A. Canel relève, page 110, le dicton suivant concernant Sainte-Croix-sur-Orne : « A SAINTE-CROIX, UN ÂNE DISAIT LA MESSE, UN POULAIN LA RÉPONDAIT. Le desservant s'appelait Anne, dit M. Chrestien ; le clerc se nommait Poulain. » A. Canel, 1859.


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  •  Le lac de Rabodanges, puis le lit de l'Orne sépare la commune de Rabodanges, rive droite, de celle de Saint-Aubert-sur-Orne, rive gauche.

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) est un petit village français, situé dans le département de l'Orne en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Rabodangeois et les Rabodangeoises. Sa superficie est de 932 hectares pour une population de 168 habitants. La commune s'étend sur 9,3 km² et compte 142 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 15,2 habitants par km², Rabodanges a subi une forte baisse de 10,6% de sa population par rapport à 1999. En 1831, la commune comptait 760 habitants. Rabodanges compte 5 exploitations agricoles et un haras.

    Rabodanges  est une ancienne commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Putanges-le-Lac (Les communes de Chênedouit, La Forêt-Auvray, La Fresnaye-au-Sauvage, Ménil-Jean, Putanges-Pont-Écrepin, Rabodanges, Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne et Sainte-Croix-sur-Orne deviennent des communes déléguées).

          Entourée par les communes de Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne, Bazoches-au-Houlme et Ménil-Hermei, Rabodanges est situé à 6,5 km au nord-ouest de Putanges-Pont-Ecrepin.
          Située à 230 mètres d'altitude, le fleuve l'
    Orne, le ruisseau des Monts Hiboux, le ruisseau de la Guesnerie sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Rabodanges.
    http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-rabodanges.html + http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)

         La paroisse se nommait jusqu'en 1650 Culley-sur-Orne. Le nom actuel Rabodanges résulte du transfert du titre des marquis de Rabodanges, dont la famille seigneuriale possédait la terre de Culley-sur-Orne en plus de son fief de Rabodinghes situé en Artois près de Saint-Omer. Le titre de noblesse fut élevé en « marquis de Rabodanges » par Louis XIV. Rabodanges représente une forme francisée de Rabodinghes, toponyme d'origine flamande. Le dernier représentant de cette famille, établie en Normandie depuis le 16e siècle, est décédé sans postérité en 1792. (wikipédia)

    Lieux :

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)

     

    Le château de Rabodanges, photo extraite de : http://www.ornetourisme.com/tourisme/patrimoine/rabodanges_chateau-de-rabodanges_0__PCUNOR061FS0008I.htm et http://dfcf-orne.over-blog.com/article-dfcf-61014-le-chateau-de-rabodanges-69616472.html

    Le château de Rabodanges de style classique (visitable)

         A l’emplacement du château actuel s’élevait autrefois un château d’aspect féodal. Dans ce château vivait le sire d’Olliamson qui menait une vie de grand veneur, sa fille Anne, plut à François de Rabodanges, issu d’une vieille famille de l’Artois, établie en Normandie. Le mariage fut célébré en 1568. Leur fils Louis leur succéda. En 1650, le fief prit le nom patronymique de son seigneur « Rabodanges ». Quand Richelieu, en 1628, donna l’ordre de raser les châteaux forts, le seigneur de Rabodanges fût le premier à obéir. La construction de la nouvelle demeure (château actuel) dura de 1630 à 1667. La devise des Rabodanges est : « Encor' n'est-il qu'un rabot d'ange » http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)

    L'église Saint Hermeland
          C’est une église du 17ème siècle, en granit et grès, avec un clocher-porche et une toiture en dôme. Le Maître-autel est en bois peint classique, avec tabernacle à cinq pans. Le retable est à quatre colonnes avec un tableau de la descente de la Croix et des statues modernes de Saint-Luc et Saint-Hermeland. La chapelle est au nord et possède un autel classique. http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) 

    RABODANGES (rive droite) La légende de Saint-Hermeland
         L’origine de la fontaine (
    propriété privée) : Dans les années de sécheresse, cette source attirait de nombreux pèlerins qui venaient en procession, pour demander la pluie. Cette confiance dans le pouvoir du Saint était rarement déçue, une ondée bienfaisante venant exaucer leurs prières. Un jour que Saint-Hermeland passait dans l’herbage où elle coule aujourd’hui, il vit des bestiaux courir çà et là, affolés par une grande soif. Il s’émut et invoqua Dieu avec ferveur. Dieu l’exauça. Le saint frappa le sol de son bâton et une source fraîche jaillit à flot, les bestiaux accoururent aussitôt pour se désaltérer. Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992. +  http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html ; photo : http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html

    Dans son ouvrage "Blason populaire de la Normandie comprenant les proverbes, sobriquets et dictons" tome 2 (1859) A. Canel relève, page 89, les dictons suivants concernant Rabodanges :

    « LES CHOUANS DE RABODANGES. COMME LES CHIENS DE M. DE RABODANGES, NE PAS MOURIR DE RÉCOMPENSE. COMME LES CHIENS DE M. DE RABODANGES, QUAND TU ME VERRAS PASSER, TU DIRAS : VOILA MON MAÎTRE. » A. Canel, 1859.

    Rabodanges est aussi célèbre pour le lac de Rabodanges (qu'il partage avec quatre communes du canton de Putanges) sur lequel il est possible de pratiquer la pêche et le ski nautique. La base nautique du Motonautique-club de Basse-Normandie se situe sur la commune des Rotours. (wikipédia)

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)

      Une rubrique de ce blog est consacrée au lac et au barrage de Rabodanges.

    Personnalité liée à la commune :

         Robert d'Aguiló, d'Aculley, de Culley ou Colei ou plutôt Robert Burdet, aventurier normand qui se déplaça durant la Reconquista de la Normandie vers la Catalogne au 11e siècle, était né à Cullei (l'actuel Rabodanges).

         Il « naquit vers la fin du 11e siècle et mourut en 1155. C'était un aventurier normand du début du 12e siècle qui s'illustra comme mercenaire en Espagne où il devint prince de Tarragone. Robert Burdet est originaire de Cullei village qui correspond à Rabodanges dans l'Orne et qui était alors situé dans le sud-ouest du duché de Normandie. Il participe aux guerres contre les Arabes dans le nord de l'Espagne en 1118, et réussit à s'emparer de Tarragone. Selon Ordéric Vital, Robert Burdet se rendit à Rome où il reçut du pape Honorius II le comté de Tarragone. De Rome, il retourna en Normandie pour recruter des soldats et retourna en Catalogne. Il se proclama « prince de Tarragone » (Princeps Tarraconensis) sous la reconnaissance de l'évêque de Barcelone Olegar, à qui il prêta hommage en 1129, tout en se montrant indépendant du puissant comté de Barcelone et en poursuivant sa lutte contre les Musulmans. Ses fils perdirent la principauté dès 1171 et en 1177 les Normands furent définitivement chassés de la région. » (Wikipédia) http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Burdet

    Le goubelin du Val Besnard :

         Un Goubelin s'était établi dans une riche ferme du Val Besnard. Il brossait et étrillait les chevaux, leur servait foin et avoine. Ils les conduisait à l'abreuvoir. Il montrait une égale sollicitude pour les vachers. Aussi les valets reconnaissants disposaient dans l'étable et dans l'écurie, chaque jour à son intention, une belle beurrée de miel qui semblait lui causer le plus grand plaisir.
    Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.

    RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite) RABODANGES (rive droite)


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  • Le barrage de Rabodanges qui barre la vallée de l'Orne, à l'entrée des gorges de Saint-Aubert, a créé un lac de retenue d'eau long de 6 km propice au tourisme.

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES  LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGESLE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES  LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

    Avant... extrait de http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article145

    Le barrage de Rabodanges

         Le bassin de Rabodanges permet un stockage de 6 millions de m3 d’eau, sur 95 hectares, retenus par un barrage de 160 mètres de long et 17 mètres de haut. L’ensemble des installations est situé au lieu-dit « le Plessis », sur la rive droite de l’Orne.
         La prise d’eau de l’usine électrique est située sur la rive droite.    Elle comporte une salle souterraine creusée à 40 mètres de profondeur dans le granit. La turbine, installée dans cette salle, reçoit l’eau provenant d’une chute de 53 mètres avec un débit de 16 m3 par seconde. D’une puissance de 9500 chevaux, elle permet d’entraîner un alternateur de 6 600 watts. L’eau débouche de l’usine, après un trajet de 2 430 mètres par une conduite creusée dans le granit au lieu-dit le Val-Besnard : les commandes de l’ensemble de l’usine se font depuis un centre de pilotage situé au-dessus du barrage.
    Au fil de l’eau, en partant du barrage, nous pouvons admirer les sites de la Pierre-plate, la Tourniole, le moulin de la Jalousie et le Val-Besnard. Tous les printemps, se déroulent des courses de canoë-kayak. http://www.cc-valdorne.fr/communes/rabodanges.html

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

          Le lac de Rabodanges est un lac du département de l'Orne dans la région Basse-Normandie. Il a été artificiellement créé en 1960 par EDF afin de produire de l'électricité. D'une longueur de 6 km et d'une largeur maximale de 250 m (valeurs approximatives), c'est un lac en longueur né par la noyade de la vallée de l'Orne en aval de Putanges-Pont-Écrepin.

         La mise en eau du lac de Rabodanges a eu lieu à la fin de l'année 1959 après trois ans de travaux sur les différents ouvrages de la centrale de Rabodanges et du barrage de retenue de Saint-Philbert-sur-Orne.

          Il constitue ainsi une étendue d'eau s'étendant sur 5 communes (Putanges-Pont-Écrepin, Sainte-Croix-sur-Orne, Les Rotours, Saint-Aubert-sur-Orne et Rabodanges) qui alimente une centrale hydro-électrique, la centrale de Rabodanges, d'une puissance de 6 500 kW5. Cette dernière fournit de l'électricité à la ville de Condé-sur-Noireau.

         Le lac se situe au sein de la Suisse normande, dans un environnement de qualité. Bien qu'il s'agisse d'un lac artificiel, le cadre sauvage de la Suisse normande a été très préservé, et son aménagement a été prévu afin de ne pas déstabiliser l'équilibre écologique du fleuve.

         Lac touristique, il permet visites et balades au cœur de la campagne normande, par ses rives boisées et sinueuses. Un bateau-restaurant y circule en période de vacances. La faune est essentiellement représentée par des canards, grèbes, hérons cendrés, foulques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Lac_de_Rabodanges

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

    Le barrage et le lac de Rabondanges, photos Gilloudifs

          L’histoire du lac de Rabodanges commence en 1919, date à laquelle une première étude a été établie par la Société Normande d’études pour l’aménagement du bassin de l’Orne et de ses affluents.
         Le lit de l’
    Orne présente, sur quatre kilomètres, depuis l’entrée jusqu’à la sortie des Gorges de Saint-Aubert, une déclivité exceptionnelle que l’on ne rencontre nulle part en Normandie : de l’ordre de 40 mètres.
         De plus l’étroitesse de la vallée, à l’entrée de ces gorges, jointe à un splendide bassin naturel se développant en amont, a permis aux ingénieurs de projeter l’œuvre ambitieuse d’un barrage et d’une retenue d’eau importante. Le bassin de
    Rabodanges permet un stockage de 6 millions de m3 d'eau, sur 95 hectares, retenus par un barrage de 160 mètres de long et de 17 mètres de haut. L'ensemble des installations, situé au lieu-dit "Plessis", sur la rive droite de l'Orne, est visible du belvédère dont on accède par un chemin situé à gauche à l'entrée du site.
         Le lac artificiel de
    Rabodanges est le plus grand plan d’eau de Basse-Normandie (Longueur : 6 000 m ; Largeur : 150 m ; Surface : 96 ha ; Profondeur : 10 m). Des prairies qui descendent en pente douce vers le lac, deux restaurants dont l’un en surplomb du lac, idéal pour les déjeuners de soleil, les cris des enfants qui jouent sur les structures gonflables, des chambres d'hôtes, une base de motonautisme et son tremplin de saut, des kayakistes qui longent les rives, le passage d’une colonne de cavaliers du club hippique voisin, le bateau croisière glissant doucement sur l’eau calme, des pêcheurs mettant leur canot à l’eau pour remonter vers l’amont du lac, des familles qui s’attardent autour des tables de pique-nique, d’autres qui ont commencé la promenade jusqu’au pont ou, plus loin, vers le belvédère qui domine le barrage... tel est le spectacle offert quotidiennement au visiteurs, dés l’arrivée des beaux jours. Le lac est classé en 2e catégorie et est connu pour la pêche de nuit de la carpe. L'ensemble des installations du barrage, situé au lieu-dit « Plessis », sur la rive droite de l'Orne
    , est visible du belvédère dont on accède par un chemin situé à gauche à l'entrée du site. http://www.office-tourisme-putanges.com/decouvrir/lac_rabodanges.html

    LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES LE BARRAGE ET LE LAC DE RABODANGES

    Photos du lac de Rabodanges vide extrait de http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article145

    Autres photographies du lac et du barrage de Rabodanges :

    Photos de la construction du barrage de Rabodanges :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article125

    Photos de la construction du tunnel :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article124

    Photos du barrage :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article31

    Photos du lac de Rabodanges :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article29

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article209

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article188

    Photos de la construction du pont de Sainte-Croix :

    http://www.quad-peche-rando.eu/spip.php?article126


    3 commentaires
  • C'est un décor grandiose et sauvage, aux versants rocheux et boisés. Leur appartenance au monde du granite renforce leur caractère profondément singulier, comme à la « Pierre Plate », où des blocs de granit sont complètement patinés par le courant. La loutre y est réapparue depuis quelques années.

    Texte ci-dessus et photo ci-dessous http://valdorne.eklablog.com/la-vallee-de-l-orne-c25661530

    LES GORGES DE SAINT-AUBERT
    LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT LES GORGES DE SAINT-AUBERT 

     

    Ci-dessous, pour France 3, vidéo aérienne suite au lâcher d'eau du lac de Rabodanges : http://www.youtube.com/watch?v=2uOe2CocyGQ


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