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Par Gilloudifs le 4 Décembre 2014 à 19:24
L'Orne sépare les territoires des communes de Trois-Monts, située sur sa rive gauche, et de Grimbosq, située sur sa rive droite.
Photo de Trois-Monts extraite de http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14713_Trois-Monts.html
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Troismontais et les Troismontaises. La commune est située en Suisse Normande, dans le canton d’Evrecy. Située entre la zone de contact entre le bocage et la plaine, Trois Monts culmine à 140 mètres
La commune s'étend sur 7 km² et compte 407 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2004. Avec une densité de 57,8 habitants par km², Trois-Monts a connu une nette hausse de 20,4% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Préaux-Bocage, Sainte-Honorine-du-Fay, Grimbosq, Goupillières, Ouffières, La Caine et Préaux-Bocage, Trois-Monts est situé à 4 km au sud-est de Sainte-Honorine-du-Fay.
Le fleuve l'Orne, le ruisseau de Flagy, le ruisseau de Buharet sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Trois-Monts. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-trois-monts.html + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/trois-monts/Historique
La voie romaine d’Avranches à Vieux passe par Trois Monts. La commune était un point stratégique établi sur un éperon naturel rocheux de forme triangulaire dominant la vallée de l’Orne d’une part, et le vallon du ruisseau de Flagy d’autre part. Cet éperon est fermé sur son troisième côté par une fortification de terre, probablement surmontée d’une palissade à l’époque. La découverte d’une hache de bronze laisse supposer une occupation du site antérieure aux romains.
En 1096, Philippe de Trois Monts fait partie de l’expédition en Terre sainte dirigée par Robert Courteheuse. En 1277, mention est faite de Tresmontes, dont les patrons sont le roi et le seigneur du lieu. Au cours de la guerre de Cent ans, un seigneur de Trois Monts est pendu à Bayeux pour trahison. Une rente est versée aux chanoines de Sainte-Honorine, siège d’une seigneurie et droit de haute justice, dont le fief inclut Trois Monts. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/trois-monts/
Lieux
Église Notre-Dame datant du Moyen âge et du 19e siècle. Alexandre de Gallery, ancien officier de cavalerie de l’Empire, retiré dans son château de Trois Monts, consacre ses loisirs à remodeler l’église, de fait devenue désormais peu banale.
Cette église constitue un véritable musée d’ébénisterie. La chaire sculptée, surmontée de statues en bois, est de style Renaissance, de même que le nouveau chœur pourvu de 24 stalles aux colonnes torses. Le portail en bois sculpté situé sous la tour, date probablement du 12 siècle.Photo de gauche extraite du site Wikipédia ; Photo de droite extraite du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/trois-monts/
L’église est isolée au milieu des bois à 500 m à l’ouest du bourg, elle faisait jadis partie du domaine de la seigneurie de Trois Monts dont le château monumental et les dépendances ont été rasés après la fin de la seconde guerre mondiale pour défaut d’entretien. Seuls subsistent les vestiges de murs d’enceinte.
Photo extraite du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/trois-monts/ ; Photo de droite extraite du site Wikipédia.
Chapelle de la Vierge, construite en 1874 au « Grand Mesnil ». La statue de la Vierge se trouve au-dessus de la porte. Depuis le décès des propriétaires, cette chapelle restée en indivision se dégrade progressivement.
Château du Vaugroult fin 17e siècle et début 18e siècle. Ce château consiste en un pavillon central, à fronton triangulaire sculpté dont les armoiries ont été détruites pendant la Révolution, flanqué de deux ailes. Cette robuste demeure, bâtie au flanc d'une terrasse dominant l'Orne, jouit d'une vue exceptionnelle, face au petit bourg de Grimbosq et à la forêt du même nom.
Photo de gauche issue du site http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14307_Goupillieres.html ; Photo de droite issue du site http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/trois-monts/
Une enceinte retranchée dominant l'Orne au lieu dit le Camp des Romains.
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Par Gilloudifs le 5 Décembre 2014 à 18:22
L'Orne borde le territoire de la commune de Sainte-Honorine-du-Fay sise sur sa rive droite. Cette commune se trouve en face de la forêt de Grimbosq qui s'étend sur la rive droite du fleuve normand.
est un village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Fayacains et les Fayacaines.
La commune s'étend sur 7,6 km² et compte 1 336 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 176,7 habitants par km², Sainte-Honorine-du-Fay a connu une nette hausse de 23,7% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Vacognes-Neuilly, Evrecy, Maizet, Grimbosq, Trois-Monts, Preaux-Bocage et Maisoncelles-sur-Ajon, Sainte-Honorine-du-Fay est située à 2 km au sud-est d'Évrecy le plus grand bourg à proximité.
Située à 116 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau de la Planquette et le ruisseau de Flagy sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Sainte-Honorine-du-Fay. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-sainte-honorine-du-fay.htmlLes armoiries de Sainte-Honorine-du-Fay se blasonnent ainsi :
Écartelé en sautoir au 1) de gueules aux deux léopards d'or l'un sur l'autre, au 2) d'or aux deux bloquets de dentellière de sable posés en chevron surmontés d'une branche de hêtre feuillée de deux pièces et fruitée d'une pièce, le tout de sinople, au 3) d'or à la croix de guerre de 39-45 au naturel surmonté d'une lettre H capitale de sable, au 4) de gueules à la rose des vents d'or. (wikipédia)Histoire
Le 1er mai 1873, l’abbé Le Breton, curé de la paroisse de Sainte-Honorine-du Fay créa par la première station météorologique dans le Calvados.
Lieux :
Photo 4 extraite de http://www.cirkwi.com/#!page=circuit&id=26638&langue=fr&bounds=49.07774,-0.49166;49.07774,-0.49166 ; Photo 5 extraite de http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Sainte-Honorine-du-Fay_%C3%A9glise.jpg
L'église Sainte-Honorine
Photo 3 extraite de http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14592_Sainte-Honorine-du-Fay.html ; Photo 4 extraite de https://www.fondation-patrimoine.org/fr/basse-normandie-4/tous-les-projets-242/detail-la-chapelle-de-longchamps-a-sainte-honorine-du-fay-13146
La Chapelle de Longchamps au hameau de la Jalousie. Une association a été créée en 2011 pour animer et mettre en valeur cette chapelle.
Le château de Flagy
Le château de Bretteville
Lavoirs au hameau de Bretteville et au lieu-dit le Homme.
Photos Gilloudifs
La Pierre d'Amour :
Poème gravé dans la pierre concernant, selon la légende, les amours contrariées d’un fils de châtelain avec une fille de meunier en 1764. « … Au milieu du bois qui borde la route touristique d'Amayé-sur-Orne à Thury-Harcourt, on peut voir la célèbre « Pierre d'Amour » que beaucoup connaissent désormais. Si l'on en croit la légende, en 1764, au temps du règne de Louis XV, le fils du châtelain des Mesnils s'éprit de la fille du meunier qui faisait tourner un moulin à eau à la hauteur du barrage d'Angers sur Grimbosq. Cet amour était mal considéré par les parents du jeune homme qui étaient farouchement opposés à une éventuelle mésalliance. Les deux amoureux, fous de chagrin, décidèrent donc jetant dans l'Orne. Mais avant de mettre à exécution leur funeste projet, ils prirent le temps de graver dans la pierre le poème suivant :
« Amant délicat et sincère
En ces lieux conduis ta bergère
Du mistère c'est le séjour
Et le vrai temple de l'amour ! 1764 »
Extrait de « Sainte-Honorine-du-Fay, ne pas perdre la mémoire » de Gabriel Thepaut ; Corlet 1996.
La « plage de Sainte-Honorine » :
«... L'un des sites les plus pittoresques de la commune : les rives de l'Orne aux Hauts-Vents. A cet endroit, à partir du confluent avec le ruisseau de Flagy et sur une distance de 550 m, l'Orne constitue la limite séparant Sainte-Honorine-du-Fay de Grimbosq. Cette vallée est bien connue des marcheurs de la randonnée pédestre organisée à chaque automne par le comité des fêtes. Les anciens de la commune vous diront qu'il y a cinquante ans, cette berge de l'Orne, en amont du ruisseau de Flagy, était pompeusement appelée « la plage de Sainte-Honorine » où chaque dimanche d'été on descendait en famille pique-niquer, se baigner ou se promener en barque à la hauteur du déversoir d'Angers (du barrage d'Angy disent les anciens).
Le chemin le long de l'Orne et aboutissant à ce déversoir porte le nom de « Bac d'Angers » dans le vieux cadastre de Trois-Monts. On peut en conclure qu'à l'époque où fonctionnait le moulin sur la rive droite de la rivière, côté commune de Grimbosq, un bac assurait le passage des carrioles transportant du grain ou de la farine. Ne servait-il pas également au transfert du minerai des mines d'antimoine de Trois-Monts ?
Comme ce ruisseau de Flagy, au bas du sentier pentu des Hauts-Vents définit la frontière entre Sainte-Honorine et Trois-Monts, la « plage » se trouvait en réalité sur cette dernière commune.
Pour franchir la petite rivière, il avait fallu remettre en état le pont et le chemin d'accès. Les jeunes hommes de la commune s'en chargèrent : MM. Bertrand, Bisson, Boudesseul, Derenemesnil, Godefroy, Ménard se souviennent encore très bien de l'excellente ambiance qui avait présidé à ces travaux bénévoles. Raymond Boudesseul s'était chargé de la confection de toutes les pièces du pont à partir de deux arbres offerts par le maire de Trois-Monts et abattus puis équarris par ses camarades.
Au fil du temps et des crues, ce pont finit par s'écrouler et fut reconstruit en 1977 par des scouts de Caen. Mais le bois utilisé étant de mauvaise qualité, ce deuxième pont connut une existence éphémère. En 1992, une autre équipe de scouts de Saint-Étienne (Loire) bâtit un troisième pont, plus sommaire, qui permet encore de franchir le ruisseau de Flagy. Pour ce faire, les scouts utilisèrent les traverses de chemin de fer du pont-bascule de la commune qui venait d'être démonté en face du château d'eau. » Extrait de « Sainte-Honorine-du-Fay, ne pas perdre la mémoire » de Gabriel Thepaut ; Corlet 1996.
Personnalités liées à la commune :
Jack Mutel (né en 1935), artiste-peintre, résidant de la commune. http://www.jack-mutel.com/bio.html
Général Georges Revel de Bretteville (1832-1913) « Les origines de la famille Revel de Bretteville remontent à 1530, durant la Guerre de Cent Ans. Le membre le plus connu de cette famille noble est le Général Georges Revel de Bretteville (1832-1913) qui participa à la Guerre de 1870. Il fut maire de Sainte Honorine du Fay de 1900 jusqu’à sa mort en 1913. » http://92.243.25.106/spip.php?article86
Site internet de la commune de Sainte-Honorine-du-Fay : http://92.243.25.106/
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Par Gilloudifs le 6 Décembre 2014 à 13:46
L'Orne sert de limite communale entre Maizet, sur sa rive gauche, et Mutrécy, sur sa rive droite.
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Maizetois et les Maizetoises.
La commune s'étend sur 5,7 km² et compte 307 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 53,7 habitants par km², Maizet a connu une nette hausse de 29% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Sainte-Honorine-du-Fay, Evrecy, Avenay, Amayé-sur-Orne, Mutrécy et Grimbosq, Maizet est situé à 2 km au sud-ouest d'Amayé-sur-Orne.
Située à 92 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne et le ruisseau de Flagy sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Maizet. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-maizet.htmlLes armes de la commune de Maizet se blasonnent ainsi :
Mi-taillé : au premier écartelé au I et au IV d'argent à la moucheture d'hermine de sable, au II et au III de gueules aux trois fasces d'argent chargées de six sarcelles de sable, trois sur la première, deux sur la deuxième et une sur la troisième, au second de gueules aux trois roses d'or. (wikipédia)Lieux :
Photos 3 et 4 extraites de : http://clochers.org/Fichiers_HTML/Accueil/Accueil_clochers/14/accueil_14393.htm
Église Saint-Vigor
Photos sur http://saintvigor.free.fr/index.php?page=cultes/maizet
Le val de Maizet
« ...Les restes du moulin de Pouquet, d'une usine électrique et du barrage, le viaduc de Pouquet puis c'est le passage à niveau n°12 dit des cullière au lieu du val de Maizet. Le val de Maizet comptait trois moulins, celui de Pouquet fut détruit partiellement en 1883. En 1911, Paul Drouville, entrepreneur de la région acheva de le raser pour construire un batiment moderne à usage de beurrerie mécanique auquel on adjoint une salle des machines animant une immense roue à aubes de plus de 6,5m de diamètre. Sur le bord de la voie, une vieille barrière à roues, de l'époque du chemin de fer et sur le coté une ancienne usine. Elle était raccordée au chemin de fer. Il n'y a pas si longtemps des traces des rails de cet embranchement particulier existaient encore avec des fosses à trains.... Une aire de stationnement et de repos est installée afin d'admirer la vue escarpée.
Le calme d'aujourd'hui ne peut préfigurer que le lieu avait une activité industrielle bien particulière, la fabrication de wagons et de locotracteurs. "Les constructions mécaniques du Val de Maizet" crée en aout 1924 ont employé jusqu'à 120 personnes. De renommé, les locotracteurs Drouville étaient fabriqués sur ce site. Après guerre, l'usine fut reprise pour une activité orientée vers la serrurerie sans retrouver le prestige de son passé. Elle ferme ses portes définitivement en septembre 1975. Certains bâtiments ont été réaménagés pour l'utilisation actuelle, cirque et art de la rue [ voir : http://www.maxetmaurice.com/?Une-histoire-de-clowns]. L'usine était plus grande et possédait ses propres logements pour le personnel comme dans beaucoup de domaine utilisant de la main d’œuvre ouvrière dans les années 1900.
Le Val de Maizet connu aussi une activité de carrière... sa ferme et son moulin, le tout animé par le bruit des trains qui ne cessaient de passer au regard de la forte utilisation de la ligne pour les carrières, mines de fer et des embranchements particuliers présents en plus du service voyageurs. C'était l'époque du plein emploi et de l'industrialisation.
La chapelle Sainte-Anne située sur la commune de Grimbosq (voir à ce nom)
Quittant ce lieu, la voie verte traverse une tranchée lui évitant le méandre de la rivière qui fut taillée à force de dynamite et de sueur humaine. Aussitôt après, elle arrive au viaduc de Sainte Anne qui a succédé à un sanctuaire celtique dédié à une divinité des eaux. On implore Sainte Anne les année de grandes sécheresses. Sainte Anne a inscrit la légende de la ligne Caen-Flers, légende qui s'est révélée devenir réalité un siècle plus tard. En voici le texte: "lors de la construction du chemin de fer, la petite chapelle Sainte Anne du être déplacée de quelques mètres. La sainte vint pleurer à plusieurs reprises sur les bords de la rivière. A la suite, Sainte Anne décida de protéger la voie ferrée, mais pour punir l'homme d'avoir touché à sa chapelle, elle lui interdirait de faire passer un train...." http://www.voievertedelalignecaen.sitew.fr/Page_3.C.htm#Page_3.C
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Par Gilloudifs le 7 Décembre 2014 à 20:20
L'Orne sert de limite communale entre Mutrécy, sur sa rive droite, et Maizet, sur sa rive gauche.
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Mutrécyens et les Mutrécyennes.
La commune s'étend sur 6,7 km² et compte 352 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 52,5 habitants par km², Mutrécy a connu une nette hausse de 32,3% de sa population par rapport à 1999. Au recensement agricole de 2000, Mutrécy comptait six exploitations agricoles professionnelles contre huit en 1988.
Entourée par les communes de Boulon, Saint-Laurent-de-Condel, Grimbosq, Maizet, Amayé-sur-Orne et Clinchamps-sur-Orne, Mutrécy est située à proximité de l’axe Caen/Flers, à 18 km de Caen et 14 Km de Thury-Harcourt.
Située à 82 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau de la Grande Vallée, le ruisseau de Coupe-Gorge sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Mutrécy. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-mutrecy.html + WikipédiaHistorique
« Des vestiges appartenant probablement à une villa romaine ont été découverts au lieu-dit Rollemeont, au bord d’une voie datant de la même époque, reliant Vieux à Boulon. Avant 1409, Raoul Tesson, en accord avec son vassal Hellouin, donne à l’Abbaye de Fontenay (Saint-André-sur-Orne) la dîme et les terres de Mutrécy. Les seigneurs du village cèdent des biens à l’Abbaye de Barbery. Le château passe ensuite aux Hue, écuyers des rois Louis XIII, Louis XIV et Louis XV. En 1789, le curé de Mutrécy est élu représentant du clergé aux états généraux. L’abbé Lefrançois est favorable aux tiers état, mais tient cependant à conserver la dîme, qu’il assimile au droit divin. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/mutrecy/
Lieux
Photos de l'église de Mutrécy : 2. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/mutrecy/ ; 2-3 : Wikipédia
L'église Saint-Clair du 11e siècle dont le portail fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 octobre 1913.
Photo 2 : http://wikimapia.org/13235655/fr/Mutr%C3%A9cy-Ch%C3%A2teau-du-Bosquet ; Photo 3 : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/mutrecy/
Château du Bosquet 17-18e siècles : château construit pour la famille Hue au 17e siècle (?) , signalé en ruine en 1885. Des pierres de démolition ont été remployées dans le moulin à blé de taille Jacquette, vestiges : portail, charretterie 17e siècle. Etable et pressoir 18e siècle.
Photo de droite extraite de http://www.petit-mariage-entre-amis.fr/pierre-et-melanie/hebergements
Manoir de la Pivardière du 17e siècle
Le Pont du Coudray se trouve à proximité de Mutrécy et relie les communes de Clinchamps-sur-Orne et Mutrécy à Amayé-sur-Orne.
Photos de droite extraite de http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Mutr%C3%A9cy#mediaviewer/File:GareMutrecy1.jpg et du site Wikipédia
La gare
« La gare de Mutrécy est une ancienne gare ferroviaire française de la ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, située sur le territoire de la commune de Mutrécy, dans le département du Calvados, en région Basse-Normandie.
Elle est mise en service en 1873 par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest et fermée à tout trafic en 1970. Établie à 12 m d'altitude, la gare de Mutrécy est située au point kilométrique (PK) 252,793 de l'ancienne ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, entre les gares de Feuguerolles-Saint-André et de Grimbosq.
La gare, alors appelée gare de Mutrécy-Clinchamps, est ouverte à partir du 15 mai 1873 par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, bénéficiant de l'extension de la ligne Flers-Berjou vers Caen. Elle prend son nom actuel le 26 avril 1902. Son exploitation est reprise en 1908 par la Compagnie des chemins de fer de l'État, puis en 1938 par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF). Elle subit des bombardements en juillet et août 1944, surtout vers le 10 août, quand elle s'est retrouvée sur la ligne de front. La gare a été entièrement détruite, de même que le pont du Coudray tout proche. En 1945, elle fut cependant utilisée pour la réception de deux wagons d’aide humanitaire offerts par les habitants d’Yverdon-les-Bains en Suisse romande à l’intention des sinistrés d’Évrecy. Reconstruite dans les années 1950, de style "standard reconstruction", elle est exploitée jusqu’au 3 mai 1970.
De 1991 à 1993, la gare est utilisée dans le cadre de l’exploitation de trains touristiques. Depuis le début des années 2000, la plateforme ferroviaire est entretenue par les soins de l’Amicale pour la mise en valeur de la ligne Caen-Flers. Reconstruit dans les années 1950, le bâtiment voyageurs est identique à celui de la gare de Thury-Harcourt.
Bien que située sur le territoire de Mutrécy, la gare est plus proche des bourgs d'Amayé-sur-Orne, auquel elle est reliée par le Pont du Coudray distant de quelques dizaines de mètres, et de Clinchamps-sur-Orne. Établie sur les bords de l'Orne, elle est toute proche de diverses guinguettes et restaurants. À quelques kilomètres au sud de la gare, se trouvent les viaducs de Pouquet et Sainte-Anne. » (Wikipédia)
Cartes postales 1-2-3 : viaduc de Pouquet ; Carte postale 4 : viaduc de Sainte-Anne
Maison Forestière de Mutrécy
« Située à deux pas de la forêt de Grimbosq, la Maison Forestière de Mutrécy, propriété de la Ville de Caen, accueille les groupes scolaires en séjour. Au programme : un bol d’air frais et une découverte des milieux naturels forestiers et bocagers, du ruisseau... Cette ancienne cidrerie, aménagée par la Ville de Caen pour accueillir les groupes scolaires, est constituée de deux bâtiments :
La Bijude : 25 places (deux dortoirs de 8 et 10 lits et deux chambres de 3 et 4 lits), deux blocs sanitaires, une salle à manger avec cheminée, une cuisine équipée, une petite salle d’activités.
Le Pressoir : 32 places (deux dortoirs de 12 et 19 lits + 1 chambre individuelle), deux blocs sanitaires, une cuisine équipe, une grande salle à manger et d’activités (150 m2), un vaste hall d’entrée.
Le centre d’hébergement est agréé par la Direction Jeunesse et Sport et par l'Inspection Académique comme « lieu d'accueil et d’hébergement de classe ». http://cpievdo.fr/cpie-presentation-environnement/maison-forestiere-de-mutrecy/
Photos extraites de https://www.lavoirs.org/affiche_lavoirs.php?code=14&page=21&max=10
Le lavoir sur la rue du Pont du Coudray.
Personnalités liées à la commune :
Jean-Pierre François de Chazot (1739-1797), mort à Mutrécy, général dont le nom est gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile à Paris. http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Fran%C3%A7ois_de_Chazot
Fernand Bignon (1888-1969), photographe, était agriculteur à Mutrécy après la Première Guerre mondiale. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Bignon/http://photo-graphie.biz/2009/bignon/bignon.html/http://photo-graphie.biz/2009/bignon/galerie2.html
La Grande Ferme à Mutrécy ; A gauche photo de Fernand Bignon ; Photos extraites du site de l'ardi : http://ardiphot.canalblog.com/archives/2010/06/13/19843916.html
Légende à Mutrécy :
« On y dit qu'un trésor et une cloche pleine d'or ont été enterrés auprès de l'emplacement qu'occupait l'établissement gallo-romain de Rollemont. Un champ voisin du lieu porte le nom de Champ Trésorier à cause, sans doute, des découvertes de médailles romaines qu'on y a faites. » Légendes de Basse-Normandie d’Édouard Colin. Charles Corlet Éditions 1992
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Par Gilloudifs le 9 Décembre 2014 à 17:22
Amayé-sur-Orne, rive gauche de l'Orne, est relié à la commune de Clinchamps-sur-Orne, rive droite de l'Orne, par le pont du Coudray.
est un village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie.
La commune s'étend sur 5,3 km² et compte 1 041 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 196,8 habitants par km², Amayé-sur-Orne a connu une nette hausse de 51,7% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Maizet, Avenay, Vieux, Feuguerolles-Bully, Clinchamps-sur-Orne et Mutrécy, Amayé-sur-Orne est situé à 3 km au nord-ouest de Clinchamps-sur-Orne, à 14 kilomètres au sud-ouest de Caen et à 6 kilomètres d'Évrecy.
Située à 52 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne et la rivière la Guigne sont les principaux cours d'eau qui bordent la commune d'Amayé-sur-Orne. L’activité agricole se partage entre la culture (principalement céréales et betteraves) et l’élevage. Des aménagements touristiques récents (voie verte de Caen à Thury-Harcourt, vélorail au départ du Pont-du-Coudray), ont commencé à diversifier le tissu économique. Le potentiel touristique existe car le village est situé sur les hauteurs de la vallée de l’Orne et recèle des paysages très pittoresques équivalents à ceux de la Suisse normande, un peu plus au sud. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-amaye-sur-orne.html + WikipédiaÉtymologie
Origine du nom : du patronyme roman Macatus, précédé de la préposition latine ad, "chez". http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/histoire-d-amaye-sur-orne.html
Les armes de la commune d'Amayé-sur-Orne se blasonnent ainsi :
Coupé : au premier de gueules à la croix estrée d'or chargée d'une croix de gueules, le montant déporté vers dextre, cantonnée en chef à dextre de deux léopards aussi d'or l’un sur l’autre, au second d’argent au pont droit de deux arches soudé d’or sur une rivière d’azur mouvant de la pointe, aux berges de sinople.(Wikipédia)Histoire
« Le site d'Amayé sur Orne est vraisemblablement occupé à l'époque protohistorique. Pendant l'Antiquité, la population s'installe le long de la voie romaine, reliant Vieux à Jublains par un pont construit sur l'Orne au lieu-dit du Pont-du-Coudray, situé en contrebas de la commune actuelle. Ce pont romain permettait d'accéder à Viducasses, actuel Vieux. Plus tard, un bac à péage relie les deux rives de l'Orne et du Coudray. En 1847, le conseil municipal de Clinchamps donne l'autorisation de construire le pont, mais le péage demeure jusqu'au 1er juin 1880. Ce pont fait le lien entre Evrecy et Argences.
Au Moyen Age, la vie s'organise autour d'un fief qui relève alors de la baronnie de Douvres. A la fin du 18e siècle, Amayé sur Orne dépend du diocèse de Bayeux, du bailliage de Caen. La commune est rattachée au canton de Maltot en 1790, puis au canton d'Evrecy par un arrêté républicain. Implanté sur la rive gauche de l'Orne à la lisière de la plaine de Caen et de la Suisse Normande, ce bourg, d'origine rurale, attire depuis les années 1960 une population nouvelle d'origine citadine. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/histoire-d-amaye-sur-orne.html
"Amayé-sur-Orne était historiquement une petite commune agricole. Elle a connu l’exode rural de la fin du 19e siècle à la décennie 1960-1970. La croissance de la population a été très forte à la fin du 20e siècle et au début du 21e, modifiant radicalement les caractéristiques sociologiques de la commune. Les agriculteurs ont été remplacés par une population de salariés ou de travailleurs indépendants exerçant pour la plupart leur activité professionnelle dans l’agglomération caennaise. L’habitat est désormais constitué de maisons individuelles construites à partir des années 1970. » La commune est jumelée avec Johannesberg (Allemagne) depuis 1990. (wikipédia)
Lieux :
Église Notre-Dame : « Le chœur d'architecture ogivale primitive, est éclairé d'ouvertures en lancette encadrées par des colonnettes. Le mur latéral sud est percé d'une large baie à trois pans ornée de motifs floraux. La nef, qui comporte des pans de maçonnerie d'époque romane, présente des corniches décorées d'un thème en dents de scie. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html « L'édifice de 320m² (au sol), propriété de la commune depuis plusieurs siècles, date du 13ème et présente une architecture originale à la fois romane et gothique. Malgré la fermeture de la paroisse d'Amayé-sur-Orne et son rattachement à celle de Maizet en 1808, faute de curé, l'église à toujours une place importante dans la vie de la commune. Suite au combat de la population du village, le bâtiment fut réouvert quelques années après (1819) et érigé en chapelle rurale, pour ne plus jamais fermer par la suite. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-naturel.html « Au 17ème, deux imposants reliquaires des saints Faustin, Placide, Libéral, Victorin avaient été obtenus de Rome par l'Evêque de Bayeux. La révolution puis les destructions de 1944 vont modifier les lieux, détruisant toiture, vitraux. L'église deviendra alors un vaste chantier pour sa remise en état. (...) En passant la grille d'entrée, regardez au-dessus du porche la statue de la vierge avec à ses pieds une reproduction du théâtre « Hébertot » de Paris. Ceci expliquant cela, il faut savoir qu'un généreux mécène Jacques Hébertot, de son nom de scène, a contribué à la restauration de l'église dans les années 50. Jacques Daviel de sa véritable identité avait noué des liens avec la commune d'Amayé, c'est ce qui motivera son engagement à aider financièrement à la restauration. Sous le porche, accroché au mur un beau christ en bois du 17ème. Depuis une centaine d'années, il a été retiré d'un arbre du cimetière, pour être sauvegardé. La nef avec ses vitraux est ainsi devenue le sanctuaire des Saints Normands notamment ceux du Calvados. Ils ont tous été réalisés par l'atelier Degusseau d'Orléans et mis en place en 1953. Les dix vitraux représentent sous les traits de personnages contemporains dont Hébertot : Saint Vigor évêque de Bayeux,Saint Clair, Saint Alnobert, les Bienheureux Lanfranc et Jean Soreth, Sainte Honorine, Jean Eudes, le Bienheureux Thomas Jean Monsaint, Sainte Thérèse de Lisieux et le dixième, cathédrale et église de Lisieux, Basilique Sainte Thérèse, Douvres la Délivrande, la chapelle du Sacré-Cœur d'Amayé (détruite début des années 60). Toujours dans la nef, le chemin de croix où chaque station est présentée dans un cadre doré à la feuille d'or. Il a été offert fin 19ème par Georges Hain, généreux donateur du château des Vaux au diocèse de Bayeux pour servir de maison de retraite aux prêtres âgés durant plus de 70 ans. Le grand tableau au dessus de l'entrée représente la sainte famille. Dans le chœur, le maître autel a remplacé fin 19ème un autre du 17ème. La sacristie a été reconstruite après la destruction par les bombes de 1944.
Document extrait du site : http://julleg.free.fr/3D.htm ; Télécharger « GoogleEarth_Repère.kmz »
Amayé a connu, comme beaucoup d'autres paroisses de la région, un rite d'isolement volontaire bien particulier. Au pied du mur du chœur entre deux contreforts, il existait une petite cellule pour une recluse. Après avoir été murée à l'intérieur, elle ne communiquait plus que par trois petites ouvertures, deux à l'extérieur pour recevoir ses repas et l'éclairage, la troisième ouvrait sur le chœur lui permettant d'assister aux offices et recevoir la communion. Le porche d'entrée est surmonté du clocher où sonnent les trois cloches. Elles ont remplacé de plus anciennes fin 19ème. L'abbé Hatat était curé de la paroisse. Il a très largement contribué à la rénovation de l'église, ses initiales figurent sur le pavage de l'église. On lui doit aussi le monument de la Vierge route d'Evrecy. »(Sources historiques : « Amayé au fil de l'eau»-René CAILLOT) http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-religieux.html
Les combles du clocher de l'église Notre-Dame accueillent une colonie reproductrice de grands murins et sont inscrits site d'importance communautaire (SIC). « Environ 200 femelles de Grands Murins viennent y passer l'été pour mettre-bas et élever leur jeune chaque année. Le Grand Murin est une espèce classée à l'Annexe II de la directive Habitats-Faune-Flore, liste regroupant les espèces animales et végétales d'intérêt communautaire dont la conservation nécessite la désignation de Zones Spéciales de Conservation (site natura 2000). Le Grand Murin est classé sur la liste rouge des espèces menacées en France en catégorie LC (préoccupation mineure). Il est commun en Normandie. » Dossier consultable sur : http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-naturel.html
Ifs du cimetière, site classé (SC, 09/01/1933) : « Pour protéger du pacage, une ordonnance de Charles VII impose la plantation d'ifs aux abords des cimetières. A l'écorce et au feuillage toxique, symbole de mort, l'if, par sa longévité et son feuillage permanent associe le symbole de l'immortalité. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html « L'église est connue pour les arbres remarquables qui encadrent l'entrée du cimetière: deux ifs datant de l'époque de Charles VII, soit du 15ème siècle, s'élèvent de part et d'autre de la grille au clocher et sont classés Monument Naturel (n°14042; Annexe 4: Monument Naturel Classé). Ce classement entraine l'impossibilité de destruction, de modification dans leur état ou leur aspect des arbres, sauf par autorisation spéciale du ministre chargé du site (Loi du 2 mai 1930) ». http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-naturel.html
Voir à ce sujet : http://www.donnees.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr/pdf/SITES/14042f.pdf
Butte de l’Orne, site classé (SC, 09/01/1933). Voir à ce sujet : http://www.donnees.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr/pdf/SITES/14043f.pdf
Château de la Butte du19e siècle.
La Croix du Pont, « vers la fin du 18e siècle en pierre, chemin de la butte. Les deux cœurs superposés à la base de cette petite croix, dressée sur les hauteurs sont peut-être un témoignage de la lutte insurrectionnelle royaliste menée par les Chouans à la fin du 18è siècle. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html
Le lavoir, photo 1 extraite de http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-amaye-sur-orne.html ; photos 2 et 3 : https://www.lavoirs.org/affiche_lavoirs.php?code=14&page=1&max=10
Lavoirs publics.
Château de Vaux du 18e siècle. « Bien ecclésiastique, le château de Vaux sert longtemps de maison de retraite à des membres du clergé. Il est mis en vente et racheté par des particuliers. La chapelle du sacré cœur élevé dans le parc est détruite début des années 60. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html
La Mairie « du 18e siècle en schiste et pierre, place de l’Église. Ancien presbytère, ce bâtiment sert de salle de classe pendant la seconde guerre mondiale, puis de bureau de poste dans les années 1960. De plan rectangulaire, le corps principal présente en façade une symétrie rigoureuse. les ouvertures sont soulignées par des piédroits.» http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html « A l'arrière des nouveaux bâtiments de la mairie, le sol est en surélévation, il s'agit de l'ancienne motte féodale. L'endroit se nomme le « câtelier » ou « châstelier ». De nombreuses maisons ont été construites sur ce terrain. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-religieux.html
Le Pont du Coudray du 20ème siècle. « Les nombreux noisetiers qui bordent l'Orne sur la route qui mène au viaduc du val de Maizet à Amayé sont à l'origine du nom de lieu-dit "Le Coudray". Au moyen âge, le passage assuré par un bac propriété de la seigneurie de Douvres est fréquemment emprunté par les marchands de bestiaux. De l'ancien pont ne demeureraient que les fondations, immergées. Le pont actuel, point stratégique lors des affrontements de juin 1944, a été en partie détruit puis reconsolidé. » http://www.amaye-sur-orne.fr/Decouverte-d-Amaye-sur-orne/patrimoine-bati.html
Site internet de la commune d'Amayé-sur-Orne : http://www.amaye-sur-orne.fr/
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