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Par Gilloudifs le 20 Novembre 2014 à 21:09
L'Orne sert de limite communale entre Saint-Rémy, sur la rive droite, et Clécy puis Saint-Lambert, Culey-le-Patry et Saint-Martin-de-Sallen, sur la rive gauche.
Photo de Saint-Rémy extraite du site : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-R%C3%A9my_%28Calvados%29
est un village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Saint-Rémois et les Saint-Rémoises. Le nom officiel de la commune, tel que répertorié par le Code officiel géographique de l'Insee, est « Saint-Rémy ». Toutefois, il est également fait usage, au niveau local et parfois par certaines administrations, mais sans aucun caractère officiel, du vocable « Saint-Rémy-sur-Orne ».
La commune s'étend sur 7,5 km² et compte 1 097 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2004. Avec une densité de 145,9 habitants par km², Saint-Rémy a connu une hausse de 2,3% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Caumont-sur-Orne, Saint-Omer, Clécy, Saint-Lambert, Culey-le-Patry et Saint-Martin-de-Sallen, Saint-Rémy est situé à 32km au sud de Caen et à 15 km de Condé-sur-Noireau.
Située à 44 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau de la Porte, le ruisseau de la Vallée des Vaux sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Saint-Rémy. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-saint-remy-14.html + Wikipédia...Pour des questions sûrement stratégiques, le village originel autour de son église du 12ème, s'est installé sur une colline dominant l’Orne. En contrebas dans la vallée, le hameau de la Bourriennière se développe sur le tracé de la route des diligences (actuelle D562) traversant la localité. Un relais se trouvait d’ailleurs après le pont de la Landelle. La Bourriennière va devenir alors le cœur du bourg actuel.
Saint-Rémy « sur-Orne » se constitue en 1827 par la réunion de deux paroisses La Mousse et Saint Rémy. Cette commune est rattachée par arrêté au canton de Thury Harcourt le 6 brumaire de l’an X (6 octobre 1801).
Essentiellement agricole, la commune s’industrialise avec l’arrivée de la ligne de chemin de fer Caen-Laval. Cette voie ferrée favorise son essor. Une gare permettait aux voyageurs d’emprunter ce nouveau moyen de locomotion et des embranchements particuliers favorisèrent son essor industriel (mine, carrière, filature Froger Gosselin).
Actuellement, si l’ancienne filature n’a plus la notoriété d’autrefois la zone artisanale a vu s’implanter la société SMVO et quelques artisans. » (…) D'après http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-remy-sur-orne/#prettyPhoto
La mine de fer
Le minerai de fer fut exploité à ciel ouvert sur les collines de Beaumont et de Mont de Vêpre à partir de 1460. Mais la véritable exploitation minière débuta le 28 septembre 1875 avec l'accord par décret du Président de la République Patrice de Mac Mahon attribuant la concession du minerai à la société des Mines de fer.
De fin octobre 1939 à août 1940, Saint-Rémy-sur-Orne accueille des réfugiés de Volmerange-les-mines et d'Ottange, villages lorrains situé entre la ligne Maginot et la frontière luxembourgeoise. Les familles logent dans les cités ouvrières, les hommes non mobilisés dans l'armée française étant affectés dans les mines de fer de la région. La fin de l'exploitation de la mine a lieu en 1968. La renonciation de cette concession a été prononcée le 10 novembre 1981. Wikipédia
Autres sites :
http://www.patrimoine-minier.fr/normandie/index.html
http://www.musees-basse-normandie.fr/mine_et_metallurgie_basse_normandie/
Pour mémoire, on trouve essentiellement 7 lieux principaux d'extraction de minerai de fer en Normandie, actifs au cours du 20e siècle :
Saint-André-sur-Orne et May-sur-Orne (Calvados) : à 7 km au sud de Caen, active de 1893 à 1968 ;
Urville-Gouvix (Calvados) : active de 1896 à 1968 ;
Soumont, sur les communes de Soumont-Saint-Quentin, Potigny et Saint-Germain-le-Vasson (Calvados) : active de 1899 à 1989 ;
Saint-Rémy (Calvados) : active de 1875 à 1968 ;
Diélette, commune de Flamanville (Manche), fermeture 1962 ;
Halouze, commune de Saint-Clair-de-Halouze (Orne), active de 1905 à 1980 ;
La Ferrière-aux-Étangs (Orne) : active de 1903 à 1970. Wikipédia
Quelques dates
Avant 1839 : suppression de l’église et du cimetière de la Mousse
1848 : projet de construction d’une école communale (des filles près de l’église et des garçons rue de la poste…).
1875 : Exploitation de la société des Mines de Fer. Concession de minerai de fer accordée par décret du Président de la République le 28 septembre 1875.
1905 : installation du réseau téléphonique
1937 : Construction d’une une mairie et deux écoles (une pour les garçons et une autre pour les filles) grâce aux taxes professionnelles.
1959 : Saint-Rémy est alimenté en eau potable par 10 puits communaux et 77 puits particuliers car la commune n’est pas dotée d’un système d’adduction d’eau potable.
1968 : la commune subit le choc de la fermeture de la mine. Un SIVOM est constitué.
1989 : création d’un lagunage ; la commune peut écologiquement profiter de la construction de son réseau du tout à l’égout.
2000 : aménagement d’une zone artisanale où des terrains sont encore disponibles…
2007 : approbation du P.L.U. de la commune lui permettant de se développer. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-remy-sur-orne/#prettyPhoto
Curiosités :
La vallée des Vaux
Centre culturel des fosses d'enfer
A l'origine fut fondé un Musée des Fosses d'enfer sur l'histoire de la mine et sur les ressources géologiques de Normandie. La maison des Ressources Géologiques de Normandie, « les fosses d'enfer », fut inaugurée en mai 1993. Née de la volonté conjointe des anciens mineurs de la mine de fer et de la commune de Saint Rémy "sur Orne", ce musée proposait un voyage dans le passé géologique et historique de la Normandie mais il a fermé en 2014.
Sur le même emplacement lui a succédé le Centre culturel des fosses d'enfer composé d'une bibliothèque, d'une galerie d'art moderne et d'un point d'information touristique. Ci-dessous le site du centre avec toutes les informations nécéssaires :
https://fossesdenferstremy.wixsite.com/site
Château de la Maroisière 18e siècle.
L'église Saint-Rémy du 12e siècle est inscrite aux Monuments historiques. "La construction de l’église romane de Saint-Rémy débute au 12e siècle. Elle fut construite en moellons de calcaire recouverts d’enduits sur les fondations d’une ancienne chapelle. Son maître-autel est très beau, orné de menuiseries, de sculptures très ouvragées et de colonnes corinthiennes, jumelées. Le chœur est aussi décoré de nombreuses peintures murales, réalisées par le peintre Chifiey en 1895, elles évoquent la vie de saint Rémy." http://www.etab.ac-caen.fr/ifsDuCalvados/StRemy.html
Un if plusieurs fois centenaire côtoie l’église romane. "Ce magnifique if qui s’épanouit près du portail a été étudié par Henri Gadeau de Kerville le 13 juin 1931. Il mesurait, voici 70 ans, 6,02 mètres de circonférence pour 13 mètres de haut. Actuellement, le pourtour de son tronc mesure 6,70 m et la hauteur 18 m, accroissement qui témoigne de sa belle vitalité. D’après Henri Gadeau de Kerville, son âge se situerait entre 700 et 900 ans, ce qui correspond à l’estimation de M. Pitel : plantation entre 997 et 1070. L’arbre a toujours été uni à l’église dans la conscience populaire. Dès le 18e siècle, une chapelle avait été dressée dans le tronc, mais l’incendie provoqué par la flamme des cierges a failli être fatal à l’arbre. À l’intérieur du tronc se trouve toujours une statue de la vierge Marie, mais les statuettes, les ex-voto en marbre, les chapelets, le tronc signalés par Henri Gadeau de Kerville semblent avoir disparu." http://www.etab.ac-caen.fr/ifsDuCalvados/StRemy.html
Au bourg (La Bourriennière), une chapelle récente s’inspire fortement du passé minier de la commune.
L'église Saint-Mathieu de La Mousse, du 11e siècle, a été détruite sous la Révolution. Son emplacement est aujourd'hui occupé par une croix.
Le pain de sucre, une butte de 171 mètres
La gare de Saint-Rémy (Calvados) est une ancienne gare ferroviaire française de la ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, située sur le territoire de la commune de Saint-Rémy, dans le département du Calvados, en région Basse-Normandie. Elle est mise en service en 1873 par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest et fermée à tout trafic en 1970. Établie à 38 m d'altitude, la gare de Saint-Rémy est située au point kilométrique (PK) 272,512 de la ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile, entre les gares de Croisilles-Harcourt et de Clécy-Bourg. La gare est ouverte le 15 mai 1873, bénéficiant de l'extension de la ligne Flers-Berjou vers Caen. En 1878, la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest reçoit l'autorisation d'établir un deuxième voie de marchandises à la gare de Saint-Rémy. Son exploitation est reprise en 1908 par l'Administration des chemins de fer de l'État, puis en 1938 par la Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF). Elle est exploitée jusqu’au 3 mai 1970. De 1991 à 1993, elle est utilisée dans le cadre de l’exploitation de trains touristiques. Depuis le début des années 2000, la plate-forme ferroviaire est entretenue par les soins de l’Amicale pour la mise en valeur de la ligne Caen-Flers. Depuis 2005, elle fait l'objet d'un débat pour sa réouverture au service TER. Finalement, le 12 décembre 2006, le Conseil Régional de Basse-Normandie a pris la décision de sauvegarder la ligne. Le bâtiment voyageur a été démoli. Wikipédia
La légende du fé amoureux
"Cette légende a été publiée dans différents ouvrages sous le titre de « le Fé amoureux » ( Plusieurs villes se trouvent citées dans ces ouvrages revendiquant la légende. Nous avons choisi celle retenue par Jules Lecœur dans Les Esquisses du Bocage Normand.). L'acteur en est un lutin : « Une fileuse de Saint-Rémy-sur-Orne recevait depuis quelque temps la visite d'un lutin qui, la nuit venue, descendait par la cheminée et prenait place au coin du feu, assis sur un billot. La fileuse était jeune, de mine avenante et le lutin la dévorait des yeux. Importunée par ces visites, la filandière en instruisit son mari dont la jalousie s'éveilla et qui résolut de chasser l'intrus. Un soir, il prit le cotillon et la coiffe de sa femme, fit rougir à blanc la tuile à galette et la posa sur le billot où le lutin avait coutume de s'asseoir. Ces dispositions prises et muni de la quenouille et du fuseau, il s'assit sur l'escabeau, fit semblant de filer et attendit. Le lutin ne tarda guère à venir. En arrivant il regarde avec surprise l'étrange filandière et fait une grimace de dépit.
- "Où donc est la belle, belle fileuse qui file, et accroche, accroche toujours car toi tu files, filuches et filoches et à ton fuseau rien n'accroche, dit-il, et ajoute : Comment t'appelles-tu toi qui la remplace ?
- Je m'appelle Personne, répond le paysan.
- Personne, Personne, répète le lutin qui va s'asseoir sur le billot. Mais aussitôt se sentant affreusement brûlé, il se met à sauter d'une jambe sur l'autre en hurlant de douleur. Il s'enfuit par la cheminée laissant une odeur de roussi dans la maison.
Attirés par ses cris perçants les compagnons du lutin accourent et lui demandent ce qui le fait crier.
- Je me brûle, brûle.
- Et qui t'a brûlé, brûlé ?
- Personne, Personne.
Des rires moqueurs accueillent cette réponse et au lieu de plaindre et de venger le pauvre amoureux grillé, les lutins se mettent à gambader follement autour de lui, à le huer et finalement le chassent honteusement de leur compagnie. » Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.
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Par Gilloudifs le 21 Novembre 2014 à 22:03
L'Orne borde sur sa rive gauche la commune de Saint-Lambert dont le territoire se trouve en face de celui de Saint-Rémy, rive droite.
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Saint-Lambertois et les Saint-Lambertoises.
La commune s'étend sur 7,5 km² et compte 249 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 33,4 habitants par km², Saint-Lambert a connu une nette hausse de 23,9% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Cauville, Saint-Pierre-la-Vieille, Saint-Rémy, Clécy, La Villette et Culey-le-Patry, Saint-Lambert se situe à proximité de l’axe Caen-Flers, à 30 km de Caen et à 10 Km de Thury-Harcourt (chef-lieu de canton).
Située à 186 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau d'Herbion, le ruisseau du Hamelet sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Saint-Lambert. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-saint-lambert-14.html et http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-lambert/Lieu :
Photos à gauche : http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14602_Saint-Lambert.html et photos à droite : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-lambert/
Église Saint-Lambert 18e siècle
« Situé en Suisse Normande, dans la vallée de l’Orne, Saint-Lambert se caractérisait par l’importance de ses habitants paysans. Les anciennes mines de fer de Saint-Rémy, où l’industrie était importante autrefois, employaient quelques ouvriers de Saint-Lambert. De plus, Saint-Lambert possédait deux tanneries (une à la Bondinière et une à Martret) ainsi qu’une teinturerie. Les murs de cette teinturerie avaient été abattus dans les années 1885 dans un pré qui a donné son nom « pré de la tannerie ». Mardel était autrefois une seigneurie. Au 17ème, elle appartenait à un seigneur écuyer du roi. Puis elle est passée aux mains de la famille Prébois et en 1885 à celles d’Eugène Le Brun, maire de Saint-Lambert à l’époque. La seigneurie possédait des dépendances. Saint-Lambert est aujourd’hui une petite commune rurale paisible marquée par l’activité agricole. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-lambert/
La légende de la ville de Thury-Harcourt : A Saint-Lambert la tradition a conservé le souvenir d'un établissement gallo-romain. Là, dans le champ de la croix, s'élevait la ville de Thury qui disparut dans les temps des guerres du passé et à la suite d'incendies. Reconstruite plus loin sur Culey-le-Patry, puis renversée à nouveau elle s'établit sur la rive droite de l'Orne et devint le bourg de Thury-Harcourt. » Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.
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Par Gilloudifs le 22 Novembre 2014 à 17:58
L'Orne sert de limite entre la commune de Culey-le-Patry, située sur sa rive gauche, et la commune de Saint-Rémy, sise sur sa rive droite, avec laquelle elle est reliée par le pont de la Mousse.
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie.
La commune s'étend sur 7,8 km² et compte 349 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 44,7 habitants par km², Culey-le-Patry a connu une hausse de 9,7% de sa population par rapport à 1999.Commune de la Suisse Normande, Culey le Patry est dotée d’un paysage contrasté dû à un terrain escarpé avec de multiples ruisseaux, typique de la Suisse Normande. Le village comporte 17 hameaux.
Entourée par les communes de Saint-Lambert, Saint-Martin-de-Sallen et Saint-Rémy, Culey-le-Patry se situe sur la rive gauche de l’Orne, à 8 km au sud de Thury-Harcourt.
Située à 121 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau d'Herbion, le ruisseau de la Vignonniere sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Culey-le-Patry. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-culey-le-patry.html + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/culey-le-patry/Les armes de la commune de Culey-le-Patry se blasonnent ainsi : De gueules, à 42 besants d'or rangés en 7 tires de 6, et a trois quintefeuilles d'argent brochant sur le tout. (Wikipédia)
Historique
« Le nom de la commune ne prendra sa forme définitive qu’à partir du 10ème siècle avec l’arrivée de la famille Patry, dont l’ancêtre était un compagnon d’armes de Rollon, "premier duc" de Normandie. Les armes de la famille Patry étaient deux gueules et trois raies d’argent grenetées d’or. Cette seigneurie relevait de la baronnerie de Lamotte, Cesny. Guillaume Patry fût l’un des compagnons de Guillaume le Conquérant. Il l’accompagna en 1066 en Grande-Bretagne. La lignée mâle s’éteignit au 16ème siècle, l’héritier ayant été assassiné par son cadet, qui fut exécuté pour son crime en 1553. Au fil des siècles, les biens furent attribués à différents descendants indirects, dont la dernière représentante, Julie de Pierrefite, mourut en 1857, sans descendance.
La commune était jadis une paroisse du vicomté de Falaise. Elle possédait deux églises l’une d’architecture romane, l’autre le prieuré Saint-Georges a été vendu à la Révolution en 1793 comme bien national ainsi que la ferme qui en dépendait.
En ce qui concerne la vie communale, on peut relever que la première classe (unique) a ouvert en 1835 (pour fermer en 1987).
La construction du pont enjambant l’Orne au lieu-dit la Mousse, a commencé en 1847, la traversée s’effectuant par bac jusqu’alors.La ligne de chemin de fer reliant Caen à Flers a débuté dans les années 1865. Elle a rassemblé une main d’œuvre nombreuse et essentiellement bretonne. Cette main d’œuvre, ainsi que celle des mines de Saint Rémy « sur-Orne » a engendré une économie locale importante. En effet, avant la seconde guerre mondiale, on dénombrait 3 cafés-épicerie et un cordonnier. Ces commerces ont disparu au fil de l’évolution du mode de vie. Il ne reste plus qu’une auberge dans le bourg où l’on peut se restaurer après avoir arpenté les nombreux circuits pédestres comportant de superbes points de vue sur la vallée de l’Orne. Culey le Patry garde aujourd’hui sa tradition agricole et rurale qui lui permet d’offrir aux touristes des chemins et sites, propices à la randonnée. » http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/culey-le-patry/
Lieux :
Photos à gauche : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/culey-le-patry/ Photos à droite : http://clochers.org/Fichiers_HTML/Accueil/Accueil_clochers/14/accueil_14211.htm
L'église de la Nativité-de-Notre-Dame.
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Photos 1-2 : Wikipédia ; Photo 3 : http://patrimoine-de-france.com/calvados/culey-le-patry/menhir-dit-la-belle-roche-3.php ; Photo 4 : http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_14211_Culey-le-Patry.htmlMenhir de la Belle Roche, classé aux Monuments historiques. Le menhir de la Belle Roche nommé aussi la Belle Rocque ou Pierre à la Demoiselle se situe sur la commune de Culey-le-Patry au sud du hameau de la Trufaudière, en France, dans le département du Calvados. Le menhir se trouve au fond une étroite vallée boisée sur la rive gauche du ruisseau d'Herbion, affluent de l'Orne. Il est renversé, en surplomb du ruisseau. Il mesure près de 5,30 m de long et 2,70 m dans sa plus grande largeur, son épaisseur varie entre 0,70 m et 0,85 m. C'est un schiste portant de profondes entailles sur la tranche. Avant sa chute, en 1840, il était considéré comme le plus grand menhir du Calvados. Le menhir dit La Belle Roche fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 mai 1954. (Wikipédia)
La légende du menhir de la Belle Roche
D'après la tradition populaire un trésor était dissimulé sous la pierre druidique. Elle fut déséquilibrée par les excavations des chercheurs de trésor, puis renversée par le propriétaire dans l'espoir de s'en emparer. On racontait aussi que la nuit de Noël, elle remuait sur sa base en faisant plusieurs tours sur elle-même et ne reprenait son immobilité qu'au premier chant du coq de la ferme voisine de la Métairie (Wikipédia)
La légende de Thury-Harcourt :
A Saint-Lambert la tradition a conservé le souvenir d'un établissement gallo-romain. Là, dans le champ de la croix, s'élevait la ville de Thury qui disparut dans les temps des guerres du passé et à la suite d'incendies. Reconstruite plus loin sur Culey-le-Patry, puis renversée à nouveau elle s'établit sur la rive droite de l'Orne et devint le bourg de Thury-Harcourt. » Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.
Personnalité liée à la commune :
Patry, chevalier de Guillaume le Conquérant, est enterré dans l'église de la commune. (Wikipédia)
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Par Gilloudifs le 23 Novembre 2014 à 21:39
L'Orne sert de limite entre la commune de Saint-Martin-de-Sallen, située sur sa rive gauche, et les communes de sa rive droite : Saint-Rémy, Caumont-sur-Orne et Thury-Harcourt qui possède l'enclave de Saint-Bénin, rive gauche. A la boucle du Hom, le fleuve crée un spectaculaire méandre.
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie.
La commune s'étend sur 18,1 km² et compte 603 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 33,3 habitants par km², Saint-Martin-de-Sallen a connu une nette hausse de 32,2% de sa population par rapport à 1999. Saint-Martin-de-Sallen appartient au canton d’Evrecy.
Entourée par les communes de Culey-le-Patry, Campandré-Valcongrain, Hamars, Curcy-sur-Orne, Thury-Harcourt, Esson et Caumont-sur-Orne, Saint-Martin-de-Sallen est situé à 6 km au sud-ouest de Thury-Harcourt la plus grande ville aux alentours, à 30 km de Caen et à 33 km de Falaise.
Située à 155 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau du Val Québert et le Vieux Ruisseau sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Saint-Martin-de-Sallen. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-saint-martin-de-sallen.html + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-martin-de-sallen/La commune du Hom est créée le 1er janvier 2016 par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2015, par la fusion de cinq communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Caumont-sur-Orne, Curcy-sur-Orne, Hamars, Saint-Martin-de-Sallen et Thury-Harcourt deviennent des communes déléguées et Thury-Harcourt est le chef-lieu de la commune nouvelle.
Le Hom est un lieu-dit commun aux communes de Thury-Harcourt et Curcy-sur-Orne, non loin du territoire de Saint-Martin-de-Sallen, sur un méandre touristique de l'Orne. Cette position permet de penser à une origine du toponyme semblable à Homme ou Hommet de Saint-Quentin-sur-le-Homme et Le Hommet-d'Arthenay : le normand holme issu du scandinave holm, « îlot », « lieu entouré d'eau ».
Historique
Le village fait d’abord partie de la Baronnie de la Motte de Cesny. En 1709, il est incorporé au duché d’Harcourt, en faveur du duc d’Harcourt, chevalier des ordres du roi et maréchal de France. La cure se divise alors en deux parties : l’une à la nomination du duc d’Harcourt, et l’autre à celle de l’abbaye de Fontenay. Le village est ensuite placé sous la sergenterie de Préaux-Bocage. Le territoire de Saint-Martin de Sallen est l’un des plus accidentés du Calvados. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-martin-de-sallen/
Lieux
Photo 3 extraite du site : http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/saint-martin-de-sallen/ Photo 4 : Wikipédia
Église Saint-Martin d'origine du 12e très remaniée aux 17e et 20e siècles. Peu de vestiges de la construction d'origine ; un appareil en arêtes de poisson, une porte romane de plein cintre avec quelques décorations dites en étoiles. Tour du clocher du 20e siècle qui possède un cadran solaire en calcaire. (wikipédia)
La chapelle Saint-Joseph a été construite en 1871; elle fut détruite par un incendie en 1919 puis complètement reconstruite. Le clocher mur surmonté d'une croix de pignon laisse entrevoir la cloche. Nous retrouvons le même style de construction à la chapelle Bonne-Nouvelle (commune d'Esson) de l'autre côté de l'Orne, faisant le pendant de la chapelle Saint-Joseph. Le calvaire en pierre de granit, a été inauguré en 1846. (wikipédia)
La légende des Trois Marie :
"Le hameau des Trois Marie fut jadis le chef-lieu d'une paroisse : "Saint-Pierre-des-Bois" dont l'église maintenant disparue s'élevait auprès du hameau. Au temps passé, une épidémie enleva tous les habitants à l'exception de trois femmes du nom de Marie d'où le nom du hameau." Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.
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Par Gilloudifs le 24 Novembre 2014 à 18:45
L'Orne borde la petite commune de Caumont-sur-Orne dominée par la colline où se dresse la chapelle de Bonne-Nouvelle (sur la commune d'Esson).
Photo extraite du site : http://valdorne.eklablog.com/caumont-sur-orne-rive-droite-a113423966
est un petit village français, situé dans le département du Calvados en région Normandie.
La commune s'étend sur 0,9 km² et compte 84 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 91,3 habitants par km², Caumont-sur-Orne a connu une nette hausse de 12% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Saint-Rémy, Saint-Martin-de-Sallen, Esson et Combray, Caumont-sur-Orne est située sur l’axe Caen-Flers, à 30 km de Caen et 5 Km de Thury-Harcourt (chef-lieu de canton).
Située à 33 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau de la Vallée des Vaux sont les principaux cours d'eau qui bordent la commune de Caumont-sur-Orne. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-caumont-sur-orne.html + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/caumont-sur-orne/La commune du Hom est créée le 1er janvier 2016 par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2015, par la fusion de cinq communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Caumont-sur-Orne, Curcy-sur-Orne, Hamars, Saint-Martin-de-Sallen et Thury-Harcourt deviennent des communes déléguées et Thury-Harcourt est le chef-lieu de la commune nouvelle.
Le Hom est un lieu-dit commun aux communes de Thury-Harcourt et Curcy-sur-Orne, non loin du territoire de Saint-Martin-de-Sallen, sur un méandre touristique de l'Orne. Cette position permet de penser à une origine du toponyme semblable à Homme ou Hommet de Saint-Quentin-sur-le-Homme et Le Hommet-d'Arthenay : le normand holme issu du scandinave holm, « îlot », « lieu entouré d'eau ».
Historique
La commune de Caumont se situe sur une chaîne de rochers de grès feldspathique inculte et couverte de bruyère, d’où son appellation de "Mont Chauve".
Caumont a toujours été a dominante agricole. Elle a toutefois connu une activité économique liée au Moulin à huile et à la fromagerie. En effet, le moulin à huile a été racheté en 1914 par Mr Delrio pour en créer une fromagerie. Elle a fonctionné jusqu’en 1969. Les bâtiments ont été rachetés à deux reprises et transformés en maison d’habitation. Caumont est aujourd’hui une commune dominée par l’agriculture. L’économie est confortée par la présence d’un pépiniériste. http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/caumont-sur-orne/
Lieux
Photos extraites du site :http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/caumont-sur-orne/#prettyPhoto à gauche, la mairie ; à droite, les berges de l'Orne.
Berges de l'Orne.
Ruisseau de la Vallée des Vaux.
Ancien moulin devenu fromagerie (1914-1969)
Ancien moulin devenu fromagerie puis aujourd'hui chambres d'hôtes, photo extraite de http://www.bonadresse.com/normandie/caumont-sur-orne.htm
Église Saint Sulpice 17e-18e siècles.
Photos extraites de http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/caumont-sur-orne/#prettyPhoto et http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/14144_Caumont-sur-Orne.html
Tradition :
«La chapelle de Notre-Dame-De-Bonne-Nouvelle dont fait mention la légende du Corps Nu (voir Esson) située sur la colline qui domine Caumont-sur-Orne est difficile d’accès. Le chemin qui y mène se révèle rude. C’est pourtant ce chemin que doivent gravir les jeunes filles qui ne veulent pas coiffer Sainte-Catherine. Pour obtenir satisfaction et trouver rapidement un beau soupirant, elles doivent affronter une épreuve assez difficile : gravir la pente à reculons. Mais, dit-on, la méthode est efficace.» Extrait de Légendes de Basse-Normandie, inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Charles Corlet 1992.
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